Les paroles de la chanson
« Le paradis, c'est l'enfer »
Maurane
Ne me demande pas si j’y crois encore.
Tu sais, de toute façon, à chaque remord,
Il faut que j’oublie.
Je crois que si tu veux être honnête avec moi,
En quelques secondes, tu balances tout ça.
C’est comme ça la vie.
C’est pas pour rien si je suis venue.
J’avais besoin de tes bras tendus.
Rien ne me raisonne :
Je suis une autre personne,
D’une autre époque
Qui sonne à ta porte,
D’un autre pays.
Ah mais lequel des deux mondes a vraiment la réponse?
Qui des deux le plus fort et qui va jeter un sort,
Un nouveau défi?
C’est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
J’avais peur que tout s’efface
Et que ton cœur me lâche.
Je viens d’un endroit
Pas loin d’ici
Où on entend pas
Même si on crie.
J’pourrais être réelle,
J’suis sans abri.
Le jour se lève
Malgré la nuit.
Tu m’as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.
J’ai vu dans tes mains
Les lignes du destin.
J’ai vu que ton cœur
Souffre en douceur
La ligne de sa vie.
Ah mais quand les vents tournent en dedans, au dehors
Que tout tourne à l’envers,
Les paradis c’est l’Enfer,
Je n’suis plus d’ici
C’est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
Mais j’avais peur que tout s’efface
Et que ton cœur me lâche.
Je viens d’un endroit
Pas loin d’ici
Où on entend pas
Même si on crie.
J’pourrais être réelle,
J’suis sans abri.
Le jour se lève
Malgré la nuit.
Tu m’as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.
Tu sais, de toute façon, à chaque remord,
Il faut que j’oublie.
Je crois que si tu veux être honnête avec moi,
En quelques secondes, tu balances tout ça.
C’est comme ça la vie.
C’est pas pour rien si je suis venue.
J’avais besoin de tes bras tendus.
Rien ne me raisonne :
Je suis une autre personne,
D’une autre époque
Qui sonne à ta porte,
D’un autre pays.
Ah mais lequel des deux mondes a vraiment la réponse?
Qui des deux le plus fort et qui va jeter un sort,
Un nouveau défi?
C’est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
J’avais peur que tout s’efface
Et que ton cœur me lâche.
Je viens d’un endroit
Pas loin d’ici
Où on entend pas
Même si on crie.
J’pourrais être réelle,
J’suis sans abri.
Le jour se lève
Malgré la nuit.
Tu m’as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.
J’ai vu dans tes mains
Les lignes du destin.
J’ai vu que ton cœur
Souffre en douceur
La ligne de sa vie.
Ah mais quand les vents tournent en dedans, au dehors
Que tout tourne à l’envers,
Les paradis c’est l’Enfer,
Je n’suis plus d’ici
C’est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
Mais j’avais peur que tout s’efface
Et que ton cœur me lâche.
Je viens d’un endroit
Pas loin d’ici
Où on entend pas
Même si on crie.
J’pourrais être réelle,
J’suis sans abri.
Le jour se lève
Malgré la nuit.
Tu m’as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cœur.