Les paroles de la chanson
« Le monsieur du canal »
Karpatt
Il était si banal le monsieur du canal
Que je ne me souviens que de son chien
Qui n’avait rien du cabot de concours au pedigree sans fin
L’air battu du bâtard qui ne paye pas de mine
Mais qui dans les brouillards le chien allume ses rétines
Je me souviens de ce trottoir
Le chien urbain ne paye pas de complet d’veston
Il ne connait que des forêt que des deux cartons
Il s’en va pro dans le monde, de ballades en ballons
Le grand dans le petit, un quartier d’univers
Un trognon d’infini, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Les couleurs sont passées
Dans son habit de rien il va pro dans le monde
Les pensées vont plus loin, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Mais les couleurs passées
Il est si loin le cadavre que je me souviens petit à petit
Il était si banal le monsieur du canal
Que je ne me souviens que de son chien
Qui n’avait rien du cabot de concours au pedigree sans fin
L’air battu du bâtard qui ne paye pas de mine
Mais qui dans les brouillards le chien allume ses rétines
Je me souviens de ce trottoir
Le chien citadin s’en va sans chapeau ni sac
Il conçoit l’océan qu’en addition de flaques
Il s’en va pro dans le monde, de ballades en saisons
Le grand dans le petit, un quartier d’univers
Un trognon d’infini, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Les couleurs sont passées
Que je ne me souviens que de son chien
Qui n’avait rien du cabot de concours au pedigree sans fin
L’air battu du bâtard qui ne paye pas de mine
Mais qui dans les brouillards le chien allume ses rétines
Je me souviens de ce trottoir
Le chien urbain ne paye pas de complet d’veston
Il ne connait que des forêt que des deux cartons
Il s’en va pro dans le monde, de ballades en ballons
Le grand dans le petit, un quartier d’univers
Un trognon d’infini, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Les couleurs sont passées
Dans son habit de rien il va pro dans le monde
Les pensées vont plus loin, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Mais les couleurs passées
Il est si loin le cadavre que je me souviens petit à petit
Il était si banal le monsieur du canal
Que je ne me souviens que de son chien
Qui n’avait rien du cabot de concours au pedigree sans fin
L’air battu du bâtard qui ne paye pas de mine
Mais qui dans les brouillards le chien allume ses rétines
Je me souviens de ce trottoir
Le chien citadin s’en va sans chapeau ni sac
Il conçoit l’océan qu’en addition de flaques
Il s’en va pro dans le monde, de ballades en saisons
Le grand dans le petit, un quartier d’univers
Un trognon d’infini, l’imaginaire se cueille
Un homme s’est noyé, plus de désir dans l’air
Les couleurs sont passées