Les paroles de la chanson
« Le ménestrel »
Jean-François Battez
Le ménestrel posait ses doigts de velours sur sa cithare devant les gens de la cour
Il entonnait pour cette noble assemblée une chanson un vieil air du passé
-" Pour vous ma belle, je brûle de mille flammes
A vous, noble seigneur, vont les vœux de mon âme".
Il parcourait les chemins et les forêts et chaque soir au château on l’attendait
Il allumait dans le plein cœur de l’hiver tous les soleils de ses chansons de trouvère
-" Puisque l’amour est enfant de bohème
Fais le voyage et dis moi que tu m’aimes".
Mais bien souvent, sous la pluie et dans le vent, il s’arrêtait chez de petites gens
Ceux là aussi, fatigués de labours, s’émerveillaient aux songes du troubadour
-" Oui notre terre est royaume de tous, nous appartient tout le blé qui y pousse
Et chantons le chaque jour qui se lève, n’est que la fin du plus doux de nos rêves".
En ce temps là régnaient l’Église et le Roi, le peuple inculte était soumis à leur loi
Dans un cachot, mains brisées, on enchaînait les saltimbanques qui chantaient la liberté.
Depuis ce temps, on entend dans les vallées un chant d’amour porté par les vents d’été
Tendre serment reçu aux souffles d’hier, sur le murmure des oiseaux et des rivières
-" Oui notre terre est royaume de tous, nous appartient tout le blé qui y pousse
Et chantons le chaque jour qui se lève, n’est que la fin du plus doux de nos rêves".
Il entonnait pour cette noble assemblée une chanson un vieil air du passé
-" Pour vous ma belle, je brûle de mille flammes
A vous, noble seigneur, vont les vœux de mon âme".
Il parcourait les chemins et les forêts et chaque soir au château on l’attendait
Il allumait dans le plein cœur de l’hiver tous les soleils de ses chansons de trouvère
-" Puisque l’amour est enfant de bohème
Fais le voyage et dis moi que tu m’aimes".
Mais bien souvent, sous la pluie et dans le vent, il s’arrêtait chez de petites gens
Ceux là aussi, fatigués de labours, s’émerveillaient aux songes du troubadour
-" Oui notre terre est royaume de tous, nous appartient tout le blé qui y pousse
Et chantons le chaque jour qui se lève, n’est que la fin du plus doux de nos rêves".
En ce temps là régnaient l’Église et le Roi, le peuple inculte était soumis à leur loi
Dans un cachot, mains brisées, on enchaînait les saltimbanques qui chantaient la liberté.
Depuis ce temps, on entend dans les vallées un chant d’amour porté par les vents d’été
Tendre serment reçu aux souffles d’hier, sur le murmure des oiseaux et des rivières
-" Oui notre terre est royaume de tous, nous appartient tout le blé qui y pousse
Et chantons le chaque jour qui se lève, n’est que la fin du plus doux de nos rêves".