Les paroles de la chanson
« Le meilleur des mondes / brave new world »
Abd Al Malik
Bien évidemment il y a Haïti
Ceux qu’ont pour épée de Damoclès un tsunami
Bien évidemment il y a tous ceux au bord de la rupture
Ceux qui vivent en France comme dans une sépulture
Bien évidemment que l’argent n’est pas tout
Mais en avoir un peu, ça change tout
Bien évidemment qu’on est tous spirituels
Qu’on donne tous peu d’importance à la matière
{Refrain, x2}
Pleurer sur ce dancefloor étrange, d’autres y dansent
Vivre dans le meilleur des mondes, mondes
Bien évidemment il y a les combats qu’on mène
Et les têtes que l’on tire
Bien évidemment la sagesse dans la défaite
Et la foi en l’avenir
Cœur sur les épaules mesurons la distance
Des rêves devenus regrets qui nous séparent de notre enfance
Bien évidemment qu’on est restés des gens biens
Vu qu’on est un peu musiciens
{au Refrain, x2}
{x2:}
Bien évidemment on rêve de s’en sortir
À vol d’oiseau je vois déjà l’Amérique
Je cours le monde, enfant famélique
Bien évidemment un autel, un martyr
Mais dis-moi qui immole-t-on? Jamais le mensonge
Le cauchemar des uns, l’espoir des autres se rencontrent
Et se regardent comme des chiens de faïence
Tout se mélange tout, tout est non-sens
Ceux qu’ont pour épée de Damoclès un tsunami
Bien évidemment il y a tous ceux au bord de la rupture
Ceux qui vivent en France comme dans une sépulture
Bien évidemment que l’argent n’est pas tout
Mais en avoir un peu, ça change tout
Bien évidemment qu’on est tous spirituels
Qu’on donne tous peu d’importance à la matière
{Refrain, x2}
Pleurer sur ce dancefloor étrange, d’autres y dansent
Vivre dans le meilleur des mondes, mondes
Bien évidemment il y a les combats qu’on mène
Et les têtes que l’on tire
Bien évidemment la sagesse dans la défaite
Et la foi en l’avenir
Cœur sur les épaules mesurons la distance
Des rêves devenus regrets qui nous séparent de notre enfance
Bien évidemment qu’on est restés des gens biens
Vu qu’on est un peu musiciens
{au Refrain, x2}
{x2:}
Bien évidemment on rêve de s’en sortir
À vol d’oiseau je vois déjà l’Amérique
Je cours le monde, enfant famélique
Bien évidemment un autel, un martyr
Mais dis-moi qui immole-t-on? Jamais le mensonge
Le cauchemar des uns, l’espoir des autres se rencontrent
Et se regardent comme des chiens de faïence
Tout se mélange tout, tout est non-sens