Les paroles de la chanson
« Le jour de la grande fête »
Jean-François Battez
Le jour de la grande fête, sentait bon la moisson
Le cidre bouché par cagettes remplaçait la boisson
Le jour de la grande fête on habillait de longues tables
Qu’on décorait du pillage des poulaillers et des étables
Le jour de la grande fête les fours à pain donnaient à plein
Odeurs de rotis de galettes et de fricassés de lapin
Le jour de la grande fête on dressait le mât de cocagne
Et vite les hommes remettaient leurs vestes quand en riant venaient les femmes.
Moi j’étais le commis de la ferme aux Genets
Toi tu étais leur fille et plus que tout moi je t’aimais
J’étais fou de toi ton coeur d’enfant le devinait
J’attendais ce jour là pour enfin l’avouer
Dans le vacarme de la grande fête et le parfum grisant des bouquets
j’ai guetté ta silhouette sous le soleil clair de l’été
Les vieux buvaient quelques bons vins, les jeunes n’arrêtaient de danser
Vers le chariot des musiciens enfin je t’ai trouvée
Donne moi la main et aussi ton sourire
N’aie pas peur de demain il est doux l’avenir
Je t’offre mon coeur prends le comme il vient
je t’invite au bonheur n’ais pas peur du chemin
Le jour de la grande fête, sentait bon la moisson
les filles dans leurs plus belles toilettes riaient dans les bras des garçons
C’était l’été mille neuf cent treize t’en souviens-tu ma belle?
Moi ici j’y pense sans trêve chaque jour qui encore se lève
Je garde ta main et aussi ton sourire
N’ais pas peur de demain il est doux l’avenir
Garde sur ton coeur l’enfant qui vient
Il faut croire au bonheur, n’aie pas peur du chemin
Le jour de la grande fête
Moi ici j’y pense sans trêve chaque jour qui encore se lève
Le cidre bouché par cagettes remplaçait la boisson
Le jour de la grande fête on habillait de longues tables
Qu’on décorait du pillage des poulaillers et des étables
Le jour de la grande fête les fours à pain donnaient à plein
Odeurs de rotis de galettes et de fricassés de lapin
Le jour de la grande fête on dressait le mât de cocagne
Et vite les hommes remettaient leurs vestes quand en riant venaient les femmes.
Moi j’étais le commis de la ferme aux Genets
Toi tu étais leur fille et plus que tout moi je t’aimais
J’étais fou de toi ton coeur d’enfant le devinait
J’attendais ce jour là pour enfin l’avouer
Dans le vacarme de la grande fête et le parfum grisant des bouquets
j’ai guetté ta silhouette sous le soleil clair de l’été
Les vieux buvaient quelques bons vins, les jeunes n’arrêtaient de danser
Vers le chariot des musiciens enfin je t’ai trouvée
Donne moi la main et aussi ton sourire
N’aie pas peur de demain il est doux l’avenir
Je t’offre mon coeur prends le comme il vient
je t’invite au bonheur n’ais pas peur du chemin
Le jour de la grande fête, sentait bon la moisson
les filles dans leurs plus belles toilettes riaient dans les bras des garçons
C’était l’été mille neuf cent treize t’en souviens-tu ma belle?
Moi ici j’y pense sans trêve chaque jour qui encore se lève
Je garde ta main et aussi ton sourire
N’ais pas peur de demain il est doux l’avenir
Garde sur ton coeur l’enfant qui vient
Il faut croire au bonheur, n’aie pas peur du chemin
Le jour de la grande fête
Moi ici j’y pense sans trêve chaque jour qui encore se lève