Les paroles de la chanson
« Le goût de toi »
Luck Mervil
On dit que beaucoup d’eau coule sous les ponts
Mais qui sait vraiment, ce qui roule sous les ponts?
Ta chaleur, ton corps et tous ces moments
Oh qui sait seulement, ce que porte le courant?
C’est fou, ohh c’est fou, comme les sentiments se forgent
À coups de boule de billard dans la gorge
Ohh c’est fou, oui c’est fou comme le passé demeure en moi
Comme j’ai le goût de toi
On dit qu’avec le temps va tout s’en va même la mémoire
Qu’il suffit d’y croire, non, ne jamais perde espoire
Que dis-je par quel prodige oublier de mon cœur la cicatrice
Je veux la revoir dans mon tranquillisant, mon canabis
C’est fou, ohh c’est fou, comme l’âme se métaphore
Par l’art du silence quand il est d"or
C’est fou, oui c’est fou
Quand la vie devient un combat
Comme j’ai le goût de toi
Shuuut...On raconte une histoire...
Elle s’appelait Adrienne-Aline
Mon adrénaline si j’étais Baudelaire elle serait mon spleen
Mais j’étais l’ennemi de l’ami oui moi j’étais l’amant
Et quand l’arme de l’ami me mira moi l’amant
C’Est l’amour qui mourut, comme dit Ménélik maldonne
Dieu ait son âme, moi j’ai sa flamme et j’en abuse
Car il est mort de ma main le manant qui malmena ma muse
Et c’est à titre posthume qu’il hume l’amertume
De ma vaine peine dans l’éternité sereine
Mais que dire que faire je vis et j’espère qu’elle s’envoit en l’air
Dans l’éther et qu’elle entend les prières
De l’homme qui sur la terre a tout fait pour lui plaire
Mais qui sait vraiment, ce qui roule sous les ponts?
Ta chaleur, ton corps et tous ces moments
Oh qui sait seulement, ce que porte le courant?
C’est fou, ohh c’est fou, comme les sentiments se forgent
À coups de boule de billard dans la gorge
Ohh c’est fou, oui c’est fou comme le passé demeure en moi
Comme j’ai le goût de toi
On dit qu’avec le temps va tout s’en va même la mémoire
Qu’il suffit d’y croire, non, ne jamais perde espoire
Que dis-je par quel prodige oublier de mon cœur la cicatrice
Je veux la revoir dans mon tranquillisant, mon canabis
C’est fou, ohh c’est fou, comme l’âme se métaphore
Par l’art du silence quand il est d"or
C’est fou, oui c’est fou
Quand la vie devient un combat
Comme j’ai le goût de toi
Shuuut...On raconte une histoire...
Elle s’appelait Adrienne-Aline
Mon adrénaline si j’étais Baudelaire elle serait mon spleen
Mais j’étais l’ennemi de l’ami oui moi j’étais l’amant
Et quand l’arme de l’ami me mira moi l’amant
C’Est l’amour qui mourut, comme dit Ménélik maldonne
Dieu ait son âme, moi j’ai sa flamme et j’en abuse
Car il est mort de ma main le manant qui malmena ma muse
Et c’est à titre posthume qu’il hume l’amertume
De ma vaine peine dans l’éternité sereine
Mais que dire que faire je vis et j’espère qu’elle s’envoit en l’air
Dans l’éther et qu’elle entend les prières
De l’homme qui sur la terre a tout fait pour lui plaire