Les paroles de la chanson
« Le fruit de mon verger »
Yves Duteil
J’ai cueilli dans ma vie des fruits de toutes sortes
J’en ai cueilli bien plus que n’en pouvais manger
Mais celui-là poussait juste devant ma porte
Aucun autre que moi ne l’a dans son verger
C’est lui qui rend la vie plus belle et plus paisible
Il est à lui tout seul la moitié du bonheur
Il pousse un peu trop haut, tout juste inaccessible
Et m’oblige à grandir pour le croquer du cœur
Il profite à vue d’œil de mes journées qui passent
Et s’épanouit le soir au coucher du soleil
Me guérit dans la nuit de mes peurs qu’il efface
Et retrouve au matin sa fraîcheur de la veille
Il comble mes silences et connaît mes rengaines
On dirait qu’il renvoie l’image de ma vie
Pour me donner courage et consoler ma peine
Me redonner raison au cœur de ma folie
J’ai découvert un jour, juste devant ma porte
Un pays si serein qu’il faut pour le trouver
S’ouvrir le cœur en grand pour que l’amour en sorte
Et découvrir la route en se laissant porter
C’est là que j’ai trouvé, caché dans la sagesse
Ce fruit miraculeux qui n’a d’autre saison
Que celle de mon cœur mais qui mûrit sans cesse
Et qui met la tendresse au cœur de mes chansons
Et j’ai cueilli depuis des fruits de toutes sortes
J’en ai cueilli bien plus que n’en pourrai manger
Mais celui qui mûrit juste devant ma porte
Aucun autre que moi ne l’a dans son verger
J’en ai cueilli bien plus que n’en pouvais manger
Mais celui-là poussait juste devant ma porte
Aucun autre que moi ne l’a dans son verger
C’est lui qui rend la vie plus belle et plus paisible
Il est à lui tout seul la moitié du bonheur
Il pousse un peu trop haut, tout juste inaccessible
Et m’oblige à grandir pour le croquer du cœur
Il profite à vue d’œil de mes journées qui passent
Et s’épanouit le soir au coucher du soleil
Me guérit dans la nuit de mes peurs qu’il efface
Et retrouve au matin sa fraîcheur de la veille
Il comble mes silences et connaît mes rengaines
On dirait qu’il renvoie l’image de ma vie
Pour me donner courage et consoler ma peine
Me redonner raison au cœur de ma folie
J’ai découvert un jour, juste devant ma porte
Un pays si serein qu’il faut pour le trouver
S’ouvrir le cœur en grand pour que l’amour en sorte
Et découvrir la route en se laissant porter
C’est là que j’ai trouvé, caché dans la sagesse
Ce fruit miraculeux qui n’a d’autre saison
Que celle de mon cœur mais qui mûrit sans cesse
Et qui met la tendresse au cœur de mes chansons
Et j’ai cueilli depuis des fruits de toutes sortes
J’en ai cueilli bien plus que n’en pourrai manger
Mais celui qui mûrit juste devant ma porte
Aucun autre que moi ne l’a dans son verger