Les paroles de la chanson
« Le frigidaire »
Tex Lecor
{Refrain:}
Tant qu’y m’restera quequ’chose dans l’ frigidaire
J’prendrai l’métro, j’fermerai ma gueule pis j’laisserai faire
Mais y a quequ’ chose qui m’dit qu’un bon matin
Ma Rosalie, on mettra du beurre sur notre pain
Moi qu’avait des belles îles, des buttes et des sillons
Me v’là perdu en ville, tout seul dans des millions
J’vis sur les autobus, au Pizza King du coin
Les gens me parlent pas plus que si j’étais un chien
{au Refrain}
Une chance que toi tu m’aimes assez pour m’endurer
C’est comme pendant l’Carême quand j’volais des candy
J’me considère lucky d’avoir ma Rosalie
La ville est polluée, l’air est pur dans mon lit
{au Refrain}
J’suis naufragé en ville chez une bande d’inconnus
Rosalie t’es tranquille, pis tu chantonnes même plus
J’travaille pour pas grand chose, on vieillit comme des fleurs
Nos seuls bouquets de roses, c’est les lettres du facteur
Tant qu’y m’restera quequ’chose dans l’ frigidaire
J’prendrai l’métro, j’ fermerai ma gueule pis j’ laisserai faire
Mais y a quequ’chose qui m’dit qu’un bon matin
Ma Rosalie, on s’en retournera d’où c’est qu’on devient
Tant qu’y m’restera quequ’chose dans l’ frigidaire
J’prendrai l’métro, j’fermerai ma gueule pis j’laisserai faire
Mais y a quequ’ chose qui m’dit qu’un bon matin
Ma Rosalie, on mettra du beurre sur notre pain
Moi qu’avait des belles îles, des buttes et des sillons
Me v’là perdu en ville, tout seul dans des millions
J’vis sur les autobus, au Pizza King du coin
Les gens me parlent pas plus que si j’étais un chien
{au Refrain}
Une chance que toi tu m’aimes assez pour m’endurer
C’est comme pendant l’Carême quand j’volais des candy
J’me considère lucky d’avoir ma Rosalie
La ville est polluée, l’air est pur dans mon lit
{au Refrain}
J’suis naufragé en ville chez une bande d’inconnus
Rosalie t’es tranquille, pis tu chantonnes même plus
J’travaille pour pas grand chose, on vieillit comme des fleurs
Nos seuls bouquets de roses, c’est les lettres du facteur
Tant qu’y m’restera quequ’chose dans l’ frigidaire
J’prendrai l’métro, j’ fermerai ma gueule pis j’ laisserai faire
Mais y a quequ’chose qui m’dit qu’un bon matin
Ma Rosalie, on s’en retournera d’où c’est qu’on devient