Les paroles de la chanson
« Le fond de l'air est frais »
Jacques Dutronc
Le fond de l’air est frais,
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!
Moi, sous mes pantalons,
Je porte des cal’çons longs.
C’est ceux de mon tonton
Qu’a du poil au menton.
Le fond de l’air est frais,
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!
Lorsque je vins sur terr’,
Le ciel était couvert.
Dans mon berceau ouvert,
Je chantais à mon père :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!"
J’ai eu pour mes étrenn’s
Un’ pair’ de bas de lain’.
C’est ceux de tant’ Germaine,
Une ancienne cheftaine.
Quand j’étais militair’,
J’avais un brigadier
Qui voulait me fair’ tair’ chaqu’ fois que je chantais :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho! Laiho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho! Laiho!"
J’ai une gross’ casquett’
Qui m’tient chaud à la têt’.
Ça m’donne un’ bell’ silhouette
Et j’crains plus la tempête.
Quand j’invite un’ jeun’ fill’,
C’est just’ pour jouer aux quill’s.
Si ell’ se déshabille, alors je m’égosille :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho! Laiho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho! Laiho!"
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!
Moi, sous mes pantalons,
Je porte des cal’çons longs.
C’est ceux de mon tonton
Qu’a du poil au menton.
Le fond de l’air est frais,
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!
Lorsque je vins sur terr’,
Le ciel était couvert.
Dans mon berceau ouvert,
Je chantais à mon père :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho, Laïho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho, Laïho!"
J’ai eu pour mes étrenn’s
Un’ pair’ de bas de lain’.
C’est ceux de tant’ Germaine,
Une ancienne cheftaine.
Quand j’étais militair’,
J’avais un brigadier
Qui voulait me fair’ tair’ chaqu’ fois que je chantais :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho! Laiho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho! Laiho!"
J’ai une gross’ casquett’
Qui m’tient chaud à la têt’.
Ça m’donne un’ bell’ silhouette
Et j’crains plus la tempête.
Quand j’invite un’ jeun’ fill’,
C’est just’ pour jouer aux quill’s.
Si ell’ se déshabille, alors je m’égosille :
"Le fond de l’air est frais,
Laïho! Laiho!
Il n’y a plus d’saison,
Laïho! Laiho!"