Les paroles de la chanson
« Le fataliste »
Yves Duteil
Je suis devenu fataliste
Le jour où je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard bien triste
Et plus rien ne l’intéressait.
Qui des deux a consolé l’autre,
Et lequel était le plus fou?
Qui des deux était bon apôtre?
Il s’en fallait pas de beaucoup.
J’ai chanté quelques chansons tendres
Composées au temps du bonheur,
Et ses larmes m’ont fait comprendre
Que j’touchais le fond de son cœur.
J’aurais pu ne plaire à personne
Ou ne rien lui chanter du tout.
Aujourd’hui serait monotone.
Il s’en fallait pas de beaucoup.
Je suis devenu fataliste
Le jour où je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard bien triste
Et plus rien ne m’intéressait.
Qui des deux a consolé l’autre?
Moi, j’avoue que je n’en sais rien.
Quelquefois le malheur des autres
Fait aussi le bonheur des uns.
Et pardon si rien ne m’étonne :
Chaque jour me rend amoureux.
Les chagrins que la vie nous donne,
Le bonheur les divise en deux.
Quelquefois la vie n’est pas belle,
L’avenir a l’air incertain.
Le bonheur est une étincelle
Qui n’est belle que quand elle s’éteint.
Je suis devenu fataliste
Le jour oh je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard si triste,
Et jamais je n’aurais pensé...
J’aurais pu prendre une autre route,
Être ailleurs, passer mon chemin.
Le bonheur s’en irait sans doute
Attiré vers d’autres destins.
J’aurais pu prendre une autre route,
Être ailleurs, passer mon chemin.
Le plus drôle, c’est sans aucun doute
Qu’aujourd’hui je n’en saurais rien.
Le jour où je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard bien triste
Et plus rien ne l’intéressait.
Qui des deux a consolé l’autre,
Et lequel était le plus fou?
Qui des deux était bon apôtre?
Il s’en fallait pas de beaucoup.
J’ai chanté quelques chansons tendres
Composées au temps du bonheur,
Et ses larmes m’ont fait comprendre
Que j’touchais le fond de son cœur.
J’aurais pu ne plaire à personne
Ou ne rien lui chanter du tout.
Aujourd’hui serait monotone.
Il s’en fallait pas de beaucoup.
Je suis devenu fataliste
Le jour où je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard bien triste
Et plus rien ne m’intéressait.
Qui des deux a consolé l’autre?
Moi, j’avoue que je n’en sais rien.
Quelquefois le malheur des autres
Fait aussi le bonheur des uns.
Et pardon si rien ne m’étonne :
Chaque jour me rend amoureux.
Les chagrins que la vie nous donne,
Le bonheur les divise en deux.
Quelquefois la vie n’est pas belle,
L’avenir a l’air incertain.
Le bonheur est une étincelle
Qui n’est belle que quand elle s’éteint.
Je suis devenu fataliste
Le jour oh je l’ai rencontrée.
Elle avait le regard si triste,
Et jamais je n’aurais pensé...
J’aurais pu prendre une autre route,
Être ailleurs, passer mon chemin.
Le bonheur s’en irait sans doute
Attiré vers d’autres destins.
J’aurais pu prendre une autre route,
Être ailleurs, passer mon chemin.
Le plus drôle, c’est sans aucun doute
Qu’aujourd’hui je n’en saurais rien.