Les paroles de la chanson
« Le dernier baiser »
Serge Lama
Le dernier baiser
On l’ignore encore pourtant c’est le dernier baiser
Le dernier accord sur une guitare brisée
Le point d’orgue au milieu d’un chef-d’œuvre inachevé
Le dernier baiser
C’est la barque qui chavire en plein cœur de juillet
Sur un étang calme et plat comme nos destinées
C’est la fleur qui tombe morte avant d’être fanée
Mes lèvres baisent et rebaisent encore tes lettres parfumées
Comme des petits bouts de ton corps que j’ai tellement aimé
Des pleurs immobiles, roulent inutiles de mes yeux à mes lèvres
Le dernier baiser
Il me trouble encore et pourtant c’était le dernier
L’automne est au bord du dernier soleil de l’été
Comme on dit dans les chansons il faut s’y résigner
Le dernier baiser
C’est le train qu’on prend sans savoir qu’il va dérailler
L’avion qu’une bombe en plein vol va pulvériser
La naufrage à deux dont un seul sortira vainqueur
Je griffe les draps où tu dormais
Je froisse le tissu de la robe que tu as laissée
Comme un remords de plus
Et ma bouche avide ne mord que le vide de mes nuits
Sans tes lèvres
Ton dernier baiser il avait le goût du café le matin
Le goût du beurre frais, le goût du pain
C’était ton dernier baiser.
On l’ignore encore pourtant c’est le dernier baiser
Le dernier accord sur une guitare brisée
Le point d’orgue au milieu d’un chef-d’œuvre inachevé
Le dernier baiser
C’est la barque qui chavire en plein cœur de juillet
Sur un étang calme et plat comme nos destinées
C’est la fleur qui tombe morte avant d’être fanée
Mes lèvres baisent et rebaisent encore tes lettres parfumées
Comme des petits bouts de ton corps que j’ai tellement aimé
Des pleurs immobiles, roulent inutiles de mes yeux à mes lèvres
Le dernier baiser
Il me trouble encore et pourtant c’était le dernier
L’automne est au bord du dernier soleil de l’été
Comme on dit dans les chansons il faut s’y résigner
Le dernier baiser
C’est le train qu’on prend sans savoir qu’il va dérailler
L’avion qu’une bombe en plein vol va pulvériser
La naufrage à deux dont un seul sortira vainqueur
Je griffe les draps où tu dormais
Je froisse le tissu de la robe que tu as laissée
Comme un remords de plus
Et ma bouche avide ne mord que le vide de mes nuits
Sans tes lèvres
Ton dernier baiser il avait le goût du café le matin
Le goût du beurre frais, le goût du pain
C’était ton dernier baiser.