Les paroles de la chanson
« Le crédo du paysan »
Armand Mestral
L’immensité, les cieux, les monts, la plaine,
L’astre du jour qui répand sa chaleur,
Les sapins verts dont la montagne est pleine
Sont ton ouvrage, ô divin créateur!
Humble mortel devant l’œuvre sublime
A l’horizon quand le soleil descend
Ma faible voix s’élève de l’abîme
Monte vers toi, vers toi Dieu tout-puissant
{Refrain:}
Je crois en toi, maître de la nature
Semant partout la vie et la fécondité
Dieu tout-puissant qui fis la créature
Je crois en ta grandeur, je crois en ta bonté! {bis}
Dans les sillons creusés par la charrue
Quand vient le temps je jette à large main
Le pur froment qui pousse en herbe drue
L’épi bientôt va sortir de ce grain.
Et si parfois la grêle ou la tempête
Sur ma moisson s’abat comme un fléau
Contre le ciel loin de lever la tête
Le front courbé, j’implore le Très Haut!
{au Refrain}
Mon dur labeur fait sortir de la terre
De quoi nourrir ma femme et mes enfants
Mieux qu’un palais j’adore ma chaumière
A ses splendeurs je préfère mes champs
Et le dimanche au repas de famille
Lorsque le soir vient tous nous réunir
Entre mes fils, et ma femme et ma fille
Le cœur content j’espère en l’avenir
{au Refrain}
Si les horreurs d’une terrible guerre
Venaient encor fondre sur le pays
Sans hésiter, là-bas, vers la frontière
Je partirais de suite avec mes fils.
S’il le fallait je donnerais ma vie
Pour protéger, pour venger le drapeau
Et fièrement tombant pour la patrie
Je redirais, aux portes du tombeau!
Je crois en toi, maître de la nature
Toi, dont le nom divin remplit l’immensité
Dieu tout-puissant qui fis la créature
Je crois, je crois en toi comme à la Liberté! {bis}
L’astre du jour qui répand sa chaleur,
Les sapins verts dont la montagne est pleine
Sont ton ouvrage, ô divin créateur!
Humble mortel devant l’œuvre sublime
A l’horizon quand le soleil descend
Ma faible voix s’élève de l’abîme
Monte vers toi, vers toi Dieu tout-puissant
{Refrain:}
Je crois en toi, maître de la nature
Semant partout la vie et la fécondité
Dieu tout-puissant qui fis la créature
Je crois en ta grandeur, je crois en ta bonté! {bis}
Dans les sillons creusés par la charrue
Quand vient le temps je jette à large main
Le pur froment qui pousse en herbe drue
L’épi bientôt va sortir de ce grain.
Et si parfois la grêle ou la tempête
Sur ma moisson s’abat comme un fléau
Contre le ciel loin de lever la tête
Le front courbé, j’implore le Très Haut!
{au Refrain}
Mon dur labeur fait sortir de la terre
De quoi nourrir ma femme et mes enfants
Mieux qu’un palais j’adore ma chaumière
A ses splendeurs je préfère mes champs
Et le dimanche au repas de famille
Lorsque le soir vient tous nous réunir
Entre mes fils, et ma femme et ma fille
Le cœur content j’espère en l’avenir
{au Refrain}
Si les horreurs d’une terrible guerre
Venaient encor fondre sur le pays
Sans hésiter, là-bas, vers la frontière
Je partirais de suite avec mes fils.
S’il le fallait je donnerais ma vie
Pour protéger, pour venger le drapeau
Et fièrement tombant pour la patrie
Je redirais, aux portes du tombeau!
Je crois en toi, maître de la nature
Toi, dont le nom divin remplit l’immensité
Dieu tout-puissant qui fis la créature
Je crois, je crois en toi comme à la Liberté! {bis}