Les paroles de la chanson
« Le coffre aux souvenirs »
Georges Guétary
La brume descend
Et le vent gémit
Pour fuir le présent
Je n’ai qu’un ami
Coffre aux souvenirs, vieux coffre de chêne
Voici revenir tous mes jours heureux
Dans un médaillon au bout d’une chaîne
La vieille maison où nous étions deux
Un brin de muguet, début d’aventure
Un bouquet d’œillets, amour grandissant
Puis les chers billets où pour signature
Tes lèvres marquaient un baiser de sang
La la la lé la
Formez, formez la ronde
La lé la la la
Tous mes chers souvenirs
Mais si les bonheurs ne sont que des rêves
Les rêves ont peur de vivre ici-bas
Et sur un écran aux images brèves
Tout mon beau roman s’achève déjà
Je revois ses yeux, son sourire étrange
J’entends son adieu presque machinal
Un dernier regard, déjà près des anges
C’est le grand départ... Mon Dieu, que j’ai mal!
La la la lé la
Fuyez, fuyez la ronde
La la la la la
De tous mes souvenirs
Coffre aux souvenirs, vieux coffre de chêne
J’ai vu revenir trop de mauvais jours
Un même secret tous deux nous enchaîne
En témoin discret, garde-le toujours
Puis quand sonnera mon heure dernière
Mon cœur reviendra vers toi sans détour
Je te reprendrai ma jeunesse entière
Puis je partirai vers mon seul amour
La la la la la
Adieu, adieu la ronde
La la la la la
De tous mes souvenirs
Et le vent gémit
Pour fuir le présent
Je n’ai qu’un ami
Coffre aux souvenirs, vieux coffre de chêne
Voici revenir tous mes jours heureux
Dans un médaillon au bout d’une chaîne
La vieille maison où nous étions deux
Un brin de muguet, début d’aventure
Un bouquet d’œillets, amour grandissant
Puis les chers billets où pour signature
Tes lèvres marquaient un baiser de sang
La la la lé la
Formez, formez la ronde
La lé la la la
Tous mes chers souvenirs
Mais si les bonheurs ne sont que des rêves
Les rêves ont peur de vivre ici-bas
Et sur un écran aux images brèves
Tout mon beau roman s’achève déjà
Je revois ses yeux, son sourire étrange
J’entends son adieu presque machinal
Un dernier regard, déjà près des anges
C’est le grand départ... Mon Dieu, que j’ai mal!
La la la lé la
Fuyez, fuyez la ronde
La la la la la
De tous mes souvenirs
Coffre aux souvenirs, vieux coffre de chêne
J’ai vu revenir trop de mauvais jours
Un même secret tous deux nous enchaîne
En témoin discret, garde-le toujours
Puis quand sonnera mon heure dernière
Mon cœur reviendra vers toi sans détour
Je te reprendrai ma jeunesse entière
Puis je partirai vers mon seul amour
La la la la la
Adieu, adieu la ronde
La la la la la
De tous mes souvenirs