Les paroles de la chanson
« Le cœur ouvert »
Gilbert Laffaille
Je te dirai tous ces mots
Que je n’ai jamais su dire
Du murmure des perles d’eau
Au noyau bleu des saphirs
Ces cristaux qui cavalcadent
Dans un bruit de choc de billes
Ces tonnes de neige en cascades
Où des éclats d’or pétillent
Je te parlerai d’un monde
A la clarté translucide
Où les couleurs se répondent
Où la parole est limpide
Comme une eau qui vagabonde
Et se jette dans les rapides
Courant des glaciers qui fondent
Vers un lit de sable aride
Et je t’ouvrirai mon cœur
Qui ne tient que par un fil
Comme un funambule fragile
Dans le rond d’un projecteur
Où un papillon de nuit
Fou aveuglé de lumière
Qui se heurte à petit bruit
Aux carreaux froids des verrières {x2}
Je te dirai tous ces mots
Qui s’infiltrent et s’enchevêtrent
Dans ce lacis de vaisseaux
Où ma nature gît peut-être
Où toute ma mémoire s’enfonce
Où un lac perdu se cache
Ces avalanches de pierres ponces
Au pied des volcans qui crachent
Je te parlerai d’un monde
Plus profond que l’Atlantide
Où le temps n’est qu’une seconde
Qui s’enroule et se dévide
Et l’espace un cercle d’ondes
Tourbillon d’énergie fluide
Où les contraires correspondent
Où les regards coïncident
Et je t’ouvrirai mon cœur
Tout couvert encore de cendres
Qui se donne un air moqueur
Mais ne fait que se défendre
Entre le doute qui le ronge
L’idéal au goût amer
La pudeur et le mensonge
Et ses rêves du fond des mers
Du fond des mers
Que je n’ai jamais su dire
Du murmure des perles d’eau
Au noyau bleu des saphirs
Ces cristaux qui cavalcadent
Dans un bruit de choc de billes
Ces tonnes de neige en cascades
Où des éclats d’or pétillent
Je te parlerai d’un monde
A la clarté translucide
Où les couleurs se répondent
Où la parole est limpide
Comme une eau qui vagabonde
Et se jette dans les rapides
Courant des glaciers qui fondent
Vers un lit de sable aride
Et je t’ouvrirai mon cœur
Qui ne tient que par un fil
Comme un funambule fragile
Dans le rond d’un projecteur
Où un papillon de nuit
Fou aveuglé de lumière
Qui se heurte à petit bruit
Aux carreaux froids des verrières {x2}
Je te dirai tous ces mots
Qui s’infiltrent et s’enchevêtrent
Dans ce lacis de vaisseaux
Où ma nature gît peut-être
Où toute ma mémoire s’enfonce
Où un lac perdu se cache
Ces avalanches de pierres ponces
Au pied des volcans qui crachent
Je te parlerai d’un monde
Plus profond que l’Atlantide
Où le temps n’est qu’une seconde
Qui s’enroule et se dévide
Et l’espace un cercle d’ondes
Tourbillon d’énergie fluide
Où les contraires correspondent
Où les regards coïncident
Et je t’ouvrirai mon cœur
Tout couvert encore de cendres
Qui se donne un air moqueur
Mais ne fait que se défendre
Entre le doute qui le ronge
L’idéal au goût amer
La pudeur et le mensonge
Et ses rêves du fond des mers
Du fond des mers