Les paroles de la chanson
« Le cœur à l'italienne »
Jean-Jacques Lafon
A l’italienne,
Quand je l’attends, j’ai le coeur à l’italienne
Moitié jardin, moitié statue vénitienne
Comme une tendresse violente
A l’italienne,
Comme un volcan qui gronde et qui se déchaîne
Et brûle tout au plus profond de mes veines
Jusqu’au moment où elle viendra
A l’italienne,
Quand elle arrive, j’ai le coeur à l’italienne
Qui chante fort, il est fou, il se promène
Toujours du côté de Vérone
A l’italienne,
Comme un violon qui pleure un air de Bohême
Qui se complaît à jouer les mêmes thèmes
Et qui ne s’arrête jamais
A l’italienne,
Comme une église entre l’ombre et la lumière
Un requiem ou les mots d’une prière
Juste écrits pour elle et moi
A l’italienne,
J’ai souvent le coeur qui parle avec les mains
Qui se balance comme si j’avais bu du vin
Avant de dormir dans ses bras
A l’italienne,
C’est des dimanches au milieu de la semaine
Lorsque l’on fait l’amour sans se dire "je t’aime"
Pour ne pas troubler le silence
A l’italienne,
Quand elle s’en va, j’ai le coeur à l’italienne
Il est jaloux et prêt à lui faire des scènes
Jusqu’à l’heure où elle reviendra
A l’italienne,
Comme une église entre l’ombre et la lumière
Un requiem ou les mots d’une prière
Juste écrits pour elle et moi
A l’talienne,
J’ai souvent le coeur qui parle avec les mains
Qui se balance comme si j’avais bu du vin
Avant de dormir dans ses bras
Quand je l’attends, j’ai le coeur à l’italienne
Moitié jardin, moitié statue vénitienne
Comme une tendresse violente
A l’italienne,
Comme un volcan qui gronde et qui se déchaîne
Et brûle tout au plus profond de mes veines
Jusqu’au moment où elle viendra
A l’italienne,
Quand elle arrive, j’ai le coeur à l’italienne
Qui chante fort, il est fou, il se promène
Toujours du côté de Vérone
A l’italienne,
Comme un violon qui pleure un air de Bohême
Qui se complaît à jouer les mêmes thèmes
Et qui ne s’arrête jamais
A l’italienne,
Comme une église entre l’ombre et la lumière
Un requiem ou les mots d’une prière
Juste écrits pour elle et moi
A l’italienne,
J’ai souvent le coeur qui parle avec les mains
Qui se balance comme si j’avais bu du vin
Avant de dormir dans ses bras
A l’italienne,
C’est des dimanches au milieu de la semaine
Lorsque l’on fait l’amour sans se dire "je t’aime"
Pour ne pas troubler le silence
A l’italienne,
Quand elle s’en va, j’ai le coeur à l’italienne
Il est jaloux et prêt à lui faire des scènes
Jusqu’à l’heure où elle reviendra
A l’italienne,
Comme une église entre l’ombre et la lumière
Un requiem ou les mots d’une prière
Juste écrits pour elle et moi
A l’talienne,
J’ai souvent le coeur qui parle avec les mains
Qui se balance comme si j’avais bu du vin
Avant de dormir dans ses bras