Les paroles de la chanson
« Le chemin du pays où rien n'est impossible »
Yves Duteil
C’est moi qui ai choisi ce chemin difficile.
Aujourd’hui je m’arrête à deux pas du ravin
À regarder le vide avec un air tranquille,
Et si je n’ai pas peur, c’est de tenir ta main.
Je n’ai plus qu’à marcher vers l’étape suivante
En mettant tout mon cœur à trouver le sentier
De plus en plus étroit, de plus en plus en pente,
Et qui déjà serpente au milieu de l’été.
Tu m’as tenu la main jusqu’à ce coin tranquille
Où nous avons posé nos valises et nos cœurs.
Il me faut repartir vers les rues de la ville
Et porter des nouvelles au miroir du bonheur.
J’en ai rempli ma vie depuis que tu existes,
Et j’ai tari mes larmes au creux de ton regard.
J’ai découvert la peur de t’avoir rendue triste
Et l’infinie fierté de te rendre l’espoir.
Me revoilà debout, je marche, je décolle
Et je plane au dessus des fenêtres allumées,
Des cheminées qui fument et des préaux d’école,
Et déjà ma raison s’endort à poings fermés.
Un paysage entier couvert de feuilles mortes
Avec une barrière dans une forêt,
Quatre maisons de planches où s’ouvrent quatre portes,
Au dedans la pénombre a gardé son secret.
Des voix qui se répondent, étouffées par l’automne,
En un concert bizarre où les cris des oiseaux,
Tous les secrets échos dont la forêt résonne
Ont mêlé leur silence au murmure de l’eau.
Si je traverse encore les secrets de la bible
Et l’écorce du temps jusqu’au cœur de la vie,
J’irai jusqu’au pays où rien n’est impossible,
Et j’en rapporterai ce qui te manque ici {2x}.
Aujourd’hui je m’arrête à deux pas du ravin
À regarder le vide avec un air tranquille,
Et si je n’ai pas peur, c’est de tenir ta main.
Je n’ai plus qu’à marcher vers l’étape suivante
En mettant tout mon cœur à trouver le sentier
De plus en plus étroit, de plus en plus en pente,
Et qui déjà serpente au milieu de l’été.
Tu m’as tenu la main jusqu’à ce coin tranquille
Où nous avons posé nos valises et nos cœurs.
Il me faut repartir vers les rues de la ville
Et porter des nouvelles au miroir du bonheur.
J’en ai rempli ma vie depuis que tu existes,
Et j’ai tari mes larmes au creux de ton regard.
J’ai découvert la peur de t’avoir rendue triste
Et l’infinie fierté de te rendre l’espoir.
Me revoilà debout, je marche, je décolle
Et je plane au dessus des fenêtres allumées,
Des cheminées qui fument et des préaux d’école,
Et déjà ma raison s’endort à poings fermés.
Un paysage entier couvert de feuilles mortes
Avec une barrière dans une forêt,
Quatre maisons de planches où s’ouvrent quatre portes,
Au dedans la pénombre a gardé son secret.
Des voix qui se répondent, étouffées par l’automne,
En un concert bizarre où les cris des oiseaux,
Tous les secrets échos dont la forêt résonne
Ont mêlé leur silence au murmure de l’eau.
Si je traverse encore les secrets de la bible
Et l’écorce du temps jusqu’au cœur de la vie,
J’irai jusqu’au pays où rien n’est impossible,
Et j’en rapporterai ce qui te manque ici {2x}.