Les paroles de la chanson
« Le chemin de l'école »
Julie Zenatti
C’était nous et nos rires sur le
Chemin de la vie
J’ai dû lâcher ta main
Je m’en veux aujourd’hui
De nos craies, de nos rêves
Un tableau noir lavé
Oui le temps est passé, il n’en reste plus rien
De nos traits, de nos lèvres
Un tableau noir usé
Par des promesses cassées, perdues
Il n’en restait rien
Et nous deux, on a loupé le train
As-tu gardé ces mots que j’écrivais
Sur les pages?
Celles des livres d’histoire,
Des pochettes et des marges
Tu les as égarés, avancés dans les flammes
Ou les as fait mourir par les mains
D’autres femmes
Moi j’ai gardé les fleurs dans un cahier jauni
Cinq pétales froissées qui disent « à la folie »
C’est sur ce banc de pierre,
Sur le chemin de l’école
Que pour la première fois
Tu m’as prise par l’épaule
As-tu revu tes potes ceux pour qui tu
Me laissais, debout devant ma porte
Tellement triste et blessée
Aujourd’hui, où sont-ils?
Et celle qui t’as ravi?
Il n’y a que moi et moi seule à veiller
Près de ton lit
Cette lame qui t’emporte
Ce chagrin qu’on n’voit pas
Pour n’pas blesser les autres
Tu l’as retourné sur toi
Comment?
As-tu oublié ce chemin, cette école?
Quand j’t’aimais moins qu’mon père
Mais bien plus qu’un autre homme
Pour d’autres chemins...
Chemin de la vie
J’ai dû lâcher ta main
Je m’en veux aujourd’hui
De nos craies, de nos rêves
Un tableau noir lavé
Oui le temps est passé, il n’en reste plus rien
De nos traits, de nos lèvres
Un tableau noir usé
Par des promesses cassées, perdues
Il n’en restait rien
Et nous deux, on a loupé le train
As-tu gardé ces mots que j’écrivais
Sur les pages?
Celles des livres d’histoire,
Des pochettes et des marges
Tu les as égarés, avancés dans les flammes
Ou les as fait mourir par les mains
D’autres femmes
Moi j’ai gardé les fleurs dans un cahier jauni
Cinq pétales froissées qui disent « à la folie »
C’est sur ce banc de pierre,
Sur le chemin de l’école
Que pour la première fois
Tu m’as prise par l’épaule
As-tu revu tes potes ceux pour qui tu
Me laissais, debout devant ma porte
Tellement triste et blessée
Aujourd’hui, où sont-ils?
Et celle qui t’as ravi?
Il n’y a que moi et moi seule à veiller
Près de ton lit
Cette lame qui t’emporte
Ce chagrin qu’on n’voit pas
Pour n’pas blesser les autres
Tu l’as retourné sur toi
Comment?
As-tu oublié ce chemin, cette école?
Quand j’t’aimais moins qu’mon père
Mais bien plus qu’un autre homme
Pour d’autres chemins...