Les paroles de la chanson
« Le chaud et le froid »
Jonatan Cerrada
Le jour allait se lever
Plus rien ne semblait exister
Mais les minutes m’étaient comptées
Volée
Une vie envolée
Dernier sourire avant de basculer
Je ne savais pas
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monté en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
Enfin je crois
J’ai cru éviter le pire
Dernier soupir
Pouvoir dessiner l’avenir
Rien de tout ça
J’ai cru éviter le doute
Au goutte à goutte
La démesure en moi
Je ne savais pas
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore éviter ça
Nous n’en serions pas là
Surtout pas moi
Et nos jours ont défilés
Au ralenti
Mais croire pouvoir tout contrôler
N’a pas suffit
Et les tonneaux s’enchaînaient
La peur, des coups, nos mains crispées
Et le temps s’est arrêté
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
J’ai pleuré tant de fois
Mais la douleur
Ne me pardonnera jamais cette erreur
Plus rien ne semblait exister
Mais les minutes m’étaient comptées
Volée
Une vie envolée
Dernier sourire avant de basculer
Je ne savais pas
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monté en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
Enfin je crois
J’ai cru éviter le pire
Dernier soupir
Pouvoir dessiner l’avenir
Rien de tout ça
J’ai cru éviter le doute
Au goutte à goutte
La démesure en moi
Je ne savais pas
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore éviter ça
Nous n’en serions pas là
Surtout pas moi
Et nos jours ont défilés
Au ralenti
Mais croire pouvoir tout contrôler
N’a pas suffit
Et les tonneaux s’enchaînaient
La peur, des coups, nos mains crispées
Et le temps s’est arrêté
Mais pourquoi
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
Si je pouvais encore
Effacer ça
Nous n’en serions pas là
J’ai senti dans mon corps
Monter en moi
Le chaud le froid
J’ai pleuré tant de fois
Mais la douleur
Ne me pardonnera jamais cette erreur