Les paroles de la chanson
« Le château sommeille »
Jacques Helian
{Parlé:}
Autrefois, m’a-t-on dit, dans la tour d’un château
Par la malédiction de la fée Carabosse
Une fille de roi se piquant d’un fuseau
S’endormit pour cent ans jusqu’au jour de ses noces
Hélas, la destinée voulut qu’en ce château
Toute la maisonnée s’endormit aussitôt...
Depuis le majordome, très digne et très bel homme
Jusqu’au premier violon figé sur ses flonflons
Avec le général debout comme à cheval
Et le grand intendant qu’a toujours mal aux dents
Sonnez les cors et sonnez les bourdons!
Mais chacun dort, nul écho ne répond
Le château sommeille
Doucement, doucement, doucement, doucement
Sans que jamais s’éveille
La princesse endormie que soumit l’enchantement
Les oiseaux des bocages
Sont unis en leurs nids jour et nuit pour cent ans
Les arbres n’ont plus d’âge
Au château de la Belle au bois dormant
{Parlé:}
Mais après un long siècle d’engourdissement
Un jeune cavalier put franchir la muraille
Et la belle, éveillée par le prince charmant
Accepta son aveu que suivit l’épousaille
Autour de la princesse, la joie reprit son cours
Et la fête sans cesse fit renaître la cour...
Depuis l’ambassadeur qui danse avec ardeur
Jusqu’au grand échanson qui pousse sa chanson
Avec le grand veneur qui f’rait le joli cœur
Et les gardes du corps qui font bien plus encore
Sonnez les cors et sonnez les violons!
De tant dehors, tout écho nous répond
Tout le château s’éveille
Follement, follement, follement, follement
Tandis que fait merveille
Tout heureux, amoureux, la princesse et son amant
Les oiseaux des bocages
Sont sortis de leurs nids et leurs cris sont déments
Tout est joyeux ramage
Au château de la Belle au bois dormant
Et l’amour qui s’éveille
Doucement, doucement, dans le cœur des amants
Berce de ses merveilles
Le château de la Belle au bois dormant
Autrefois, m’a-t-on dit, dans la tour d’un château
Par la malédiction de la fée Carabosse
Une fille de roi se piquant d’un fuseau
S’endormit pour cent ans jusqu’au jour de ses noces
Hélas, la destinée voulut qu’en ce château
Toute la maisonnée s’endormit aussitôt...
Depuis le majordome, très digne et très bel homme
Jusqu’au premier violon figé sur ses flonflons
Avec le général debout comme à cheval
Et le grand intendant qu’a toujours mal aux dents
Sonnez les cors et sonnez les bourdons!
Mais chacun dort, nul écho ne répond
Le château sommeille
Doucement, doucement, doucement, doucement
Sans que jamais s’éveille
La princesse endormie que soumit l’enchantement
Les oiseaux des bocages
Sont unis en leurs nids jour et nuit pour cent ans
Les arbres n’ont plus d’âge
Au château de la Belle au bois dormant
{Parlé:}
Mais après un long siècle d’engourdissement
Un jeune cavalier put franchir la muraille
Et la belle, éveillée par le prince charmant
Accepta son aveu que suivit l’épousaille
Autour de la princesse, la joie reprit son cours
Et la fête sans cesse fit renaître la cour...
Depuis l’ambassadeur qui danse avec ardeur
Jusqu’au grand échanson qui pousse sa chanson
Avec le grand veneur qui f’rait le joli cœur
Et les gardes du corps qui font bien plus encore
Sonnez les cors et sonnez les violons!
De tant dehors, tout écho nous répond
Tout le château s’éveille
Follement, follement, follement, follement
Tandis que fait merveille
Tout heureux, amoureux, la princesse et son amant
Les oiseaux des bocages
Sont sortis de leurs nids et leurs cris sont déments
Tout est joyeux ramage
Au château de la Belle au bois dormant
Et l’amour qui s’éveille
Doucement, doucement, dans le cœur des amants
Berce de ses merveilles
Le château de la Belle au bois dormant