Les paroles de la chanson
« Le château de sable »
Joe Dassin
On construit parfois comme les enfants,
(Comme tous les enfants)
Un château de sable et de vent
Un château de sable qu’on bâtit pour l’éternité.
Mais les tous premiers flots vont l’emporter.
J’avais fait pour toi près de l’océan,
(Comme tous les enfants)
Un amour de sable et de vent.
Et pour cet amour
Pour toi la princesse du grand château,
Rien n’était assez fou, ni assez beau.
Mais les vagues montent et l’enfant qui revient
Ne retrouve que le sable.
Des donjons, des tours, le lendemain matin,
Il ne reste plus rien...
On construit parfois comme les enfants,
(Comme tous les enfants)
Un château de sable si grand,
Et si vaste qu’on a l’impression de s’y promener.
Qu’il contiendrait la Méditerranée.
J’avais fait pour toi près de l’océan,
(Comme tous les enfants)
Un amour de sable si grand,
(Un amour de sable)
Qu’il était parti pour durer la vie,
Il a tenu l’espace de la nuit.
Mais les vagues montent et l’enfant qui revient
Ne retrouve que du sable,
Des donjons, des tours, le lendemain matin,
Il ne reste plus rien...
(Comme tous les enfants)
Un château de sable et de vent
Un château de sable qu’on bâtit pour l’éternité.
Mais les tous premiers flots vont l’emporter.
J’avais fait pour toi près de l’océan,
(Comme tous les enfants)
Un amour de sable et de vent.
Et pour cet amour
Pour toi la princesse du grand château,
Rien n’était assez fou, ni assez beau.
Mais les vagues montent et l’enfant qui revient
Ne retrouve que le sable.
Des donjons, des tours, le lendemain matin,
Il ne reste plus rien...
On construit parfois comme les enfants,
(Comme tous les enfants)
Un château de sable si grand,
Et si vaste qu’on a l’impression de s’y promener.
Qu’il contiendrait la Méditerranée.
J’avais fait pour toi près de l’océan,
(Comme tous les enfants)
Un amour de sable si grand,
(Un amour de sable)
Qu’il était parti pour durer la vie,
Il a tenu l’espace de la nuit.
Mais les vagues montent et l’enfant qui revient
Ne retrouve que du sable,
Des donjons, des tours, le lendemain matin,
Il ne reste plus rien...