Les paroles de la chanson
« Le chat bleu »
Stéphane Cadé
Où vais-je si mal fagoté
Dans mon beau pantalon vert pomme
Piétinant les cheveux rouillés
Des arbres fauves de l’automne?
Je me balade au bras du vent
Sous une pluie de squames d’or
Je me console en déroulant
Ma carte de l’île au trésor
Un chat bleu chante à la fenêtre
En fumant une marguerite
C’est moi qui deviens fou peut-être
Paraît qu’on a ce qu’on mérite!
C’est la vie qui passe là-bas
Cette voiture qui part à la mer
Ce couple amoureux qui s’en va
S’enlacer près de Saint-Lunaire
Mes mouettes à moi sont des pigeons
Et mes vagues sont pleines de bitume
Mon amour est un horizon
Et ma salive pour l’écume
Un chat bleu chante à la fenêtre
En croquant une mandarine
C’est moi qui deviens saoul peut-être
J’avale un cachet d’aspirine
L’hiver approche à pas de loup
Il mord les coins de mon journal
Et vient me souffler dans le cou
Ses confidences glaciales
Comme une girafe expatriée
Je rêve de brûlante Afrique
Entraînant une paire de pieds
Au bout d’échasses dyslex-liques
Un chat noir chante à la fenêtre
En jouant de l’orgue de Barbarie
C’est moi qui deviens sourd peut-être
Il faudrait que je me marie
Allez j’emmène mes pensées
Faire une croisière en autobus
De platanes en marronniers
Je sème des bouts de rébus
Je compte les porteurs de chapeaux
Et les étuis de violoncelle
Mais il me reste un doigt de trop
Alors je compte... la Tour Eiffel!
Un chat bleu chante à la fenêtre
En soufflant dans un hélicon
C’est moi qui le deviens peut-être
Qui voudra de cette chanson?
Yahooouuu!
Dans mon beau pantalon vert pomme
Piétinant les cheveux rouillés
Des arbres fauves de l’automne?
Je me balade au bras du vent
Sous une pluie de squames d’or
Je me console en déroulant
Ma carte de l’île au trésor
Un chat bleu chante à la fenêtre
En fumant une marguerite
C’est moi qui deviens fou peut-être
Paraît qu’on a ce qu’on mérite!
C’est la vie qui passe là-bas
Cette voiture qui part à la mer
Ce couple amoureux qui s’en va
S’enlacer près de Saint-Lunaire
Mes mouettes à moi sont des pigeons
Et mes vagues sont pleines de bitume
Mon amour est un horizon
Et ma salive pour l’écume
Un chat bleu chante à la fenêtre
En croquant une mandarine
C’est moi qui deviens saoul peut-être
J’avale un cachet d’aspirine
L’hiver approche à pas de loup
Il mord les coins de mon journal
Et vient me souffler dans le cou
Ses confidences glaciales
Comme une girafe expatriée
Je rêve de brûlante Afrique
Entraînant une paire de pieds
Au bout d’échasses dyslex-liques
Un chat noir chante à la fenêtre
En jouant de l’orgue de Barbarie
C’est moi qui deviens sourd peut-être
Il faudrait que je me marie
Allez j’emmène mes pensées
Faire une croisière en autobus
De platanes en marronniers
Je sème des bouts de rébus
Je compte les porteurs de chapeaux
Et les étuis de violoncelle
Mais il me reste un doigt de trop
Alors je compte... la Tour Eiffel!
Un chat bleu chante à la fenêtre
En soufflant dans un hélicon
C’est moi qui le deviens peut-être
Qui voudra de cette chanson?
Yahooouuu!