Les paroles de la chanson
« Le chapeau de mireille »
Marcel Amont
Le chapeau de Mireille
Quand en plein vol je l’ai rattrapé
Entre Sète et Marseille
Quel est l’bon vent qui l’avait chipé?
Le chapeau de Mireille
Quand en plein vol je l’ai rattrapé
Entre Sète et Marseille
Quel joli vent l’avait chipé?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me la fit connaître
Aussi, dorénavant
Je ne mouds plus mon blé
Qu’à des moulins à vent.
Quand la jupe à Mireille
Haut se troussa, haut se retroussa
Découvrant des merveilles :
Quel est l’bon vent qui s’est permis ça?
Quand la jupe à Mireille
Haut se troussa, haut se retroussa
Découvrant des merveilles :
Quel joli vent s’est permis ça?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me montra sa jambe
Aussi reconnaissant
Je lui laisse emporter
Mes tuiles en passant.
Quand j’embrassai Mireille
Qu’elle se cabra, qu’elle me rembarra
Me tira les oreilles
Quel est l’bon vent qui retint son bras?
Quand j’embrassai Mireille
Qu’elle se cabra, qu’elle me rembarra
Me tira les oreilles
Quel joli vent retint son bras?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il m’épargna la gifle
Aussi, dessus mon toit
Y avait une seule girouette
Y en a maintenant trois.
Et quand avec Mireille
Dans le fossé on s’est enlacé
A l’ombre d’une treille
Quel est l’bon vent qui nous a poussés?
Et quand avec Mireille
Dans le fossé on s’est enlacé
A l’ombre d’une treille
Quel joli vent nous a poussés?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral de la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me coucha sur elle
En échange aussitôt
Je mis une voile de plus
A mon petit bateau.
Quand j’ai perdu Mireille
Que j’épanchai le cœur affligé
Des larmes sans pareilles
Quel est l’ bon vent qui les a séchées?
Quand j’ai perdu Mireille
Que j’épanchai le cœur affligé
Des larmes sans pareilles
Quel joli vent les a séchées?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il balaya ma peine
Aussi, sans lésiner
Je lui donne toujours
Mes bœufs à décorner.
Quand en plein vol je l’ai rattrapé
Entre Sète et Marseille
Quel est l’bon vent qui l’avait chipé?
Le chapeau de Mireille
Quand en plein vol je l’ai rattrapé
Entre Sète et Marseille
Quel joli vent l’avait chipé?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me la fit connaître
Aussi, dorénavant
Je ne mouds plus mon blé
Qu’à des moulins à vent.
Quand la jupe à Mireille
Haut se troussa, haut se retroussa
Découvrant des merveilles :
Quel est l’bon vent qui s’est permis ça?
Quand la jupe à Mireille
Haut se troussa, haut se retroussa
Découvrant des merveilles :
Quel joli vent s’est permis ça?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me montra sa jambe
Aussi reconnaissant
Je lui laisse emporter
Mes tuiles en passant.
Quand j’embrassai Mireille
Qu’elle se cabra, qu’elle me rembarra
Me tira les oreilles
Quel est l’bon vent qui retint son bras?
Quand j’embrassai Mireille
Qu’elle se cabra, qu’elle me rembarra
Me tira les oreilles
Quel joli vent retint son bras?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il m’épargna la gifle
Aussi, dessus mon toit
Y avait une seule girouette
Y en a maintenant trois.
Et quand avec Mireille
Dans le fossé on s’est enlacé
A l’ombre d’une treille
Quel est l’bon vent qui nous a poussés?
Et quand avec Mireille
Dans le fossé on s’est enlacé
A l’ombre d’une treille
Quel joli vent nous a poussés?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan.
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral de la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il me coucha sur elle
En échange aussitôt
Je mis une voile de plus
A mon petit bateau.
Quand j’ai perdu Mireille
Que j’épanchai le cœur affligé
Des larmes sans pareilles
Quel est l’ bon vent qui les a séchées?
Quand j’ai perdu Mireille
Que j’épanchai le cœur affligé
Des larmes sans pareilles
Quel joli vent les a séchées?
C’est pas le zéphyr
N’aurait pu suffire
C’est pas lui non plus
L’aquilon joufflu
C’est pas pour autant
L’autan
Non, mais c’est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole
En un mot : le mistral.
Il balaya ma peine
Aussi, sans lésiner
Je lui donne toujours
Mes bœufs à décorner.