Les paroles de la chanson
« Le bûcher des offenses »
Pascal Mono
J’ai longtemps dialogué avec vous
Au plus fort des tempêtes, à la gloire déchue
J’ai longtemps dialogué avec vous
A la lumière des chalutiers et de leurs chaluts
Aux malheureux naufragés, jamais revenus de ces jouvences
J’ai longtemps dialogué avec vous
Dans la splendeur de l’obscurité
Pour danser vos danses, porter vos loques
Séduit par vos fulgurances
M’enflammer, éblouir mes yeux
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
J’ai longtemps dialogué avec vous
Malgré les crocs, malgré les frondes, les flèches dedans
Et j’ai entretenu cette entente
Ce jardin de mauvaise rente
Jusqu’à épouser vos formes difformes
Incandescentes
Et à vous chercher des raisons
Jusqu’à vous trouver mille excuses
Mais ce n’était que moi, si je ne m’abuse
Cette impossible muse
J’ai fini par implorer les anges
Pour reprendre le cours de ma vie
Laisser là la fange
Alors oui!
Oui j’ai prié comme un bon petit
« Comme nous pardonnons aussi à ceux qui… »
Enflammer, éblouir mes yeux
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
J’ai rompu avec vous
Mais je sais qu’il y aura toujours de l’affluence
Sous votre influence
Des foules pour se presser de faire de vous leur éminence
Dans l’espoir de voir un jour peut-être, le soleil plus beau
Mais conditionnés du concept
Et chacun son p’tit fagot
Au bûcher des offenses
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au plus fort des tempêtes, à la gloire déchue
J’ai longtemps dialogué avec vous
A la lumière des chalutiers et de leurs chaluts
Aux malheureux naufragés, jamais revenus de ces jouvences
J’ai longtemps dialogué avec vous
Dans la splendeur de l’obscurité
Pour danser vos danses, porter vos loques
Séduit par vos fulgurances
M’enflammer, éblouir mes yeux
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
J’ai longtemps dialogué avec vous
Malgré les crocs, malgré les frondes, les flèches dedans
Et j’ai entretenu cette entente
Ce jardin de mauvaise rente
Jusqu’à épouser vos formes difformes
Incandescentes
Et à vous chercher des raisons
Jusqu’à vous trouver mille excuses
Mais ce n’était que moi, si je ne m’abuse
Cette impossible muse
J’ai fini par implorer les anges
Pour reprendre le cours de ma vie
Laisser là la fange
Alors oui!
Oui j’ai prié comme un bon petit
« Comme nous pardonnons aussi à ceux qui… »
Enflammer, éblouir mes yeux
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
J’ai rompu avec vous
Mais je sais qu’il y aura toujours de l’affluence
Sous votre influence
Des foules pour se presser de faire de vous leur éminence
Dans l’espoir de voir un jour peut-être, le soleil plus beau
Mais conditionnés du concept
Et chacun son p’tit fagot
Au bûcher des offenses
Pieusement, peu à peu
Brûler l’existence
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses
Au bûcher des offenses