Les paroles de la chanson
« Le bon dieu est une femme »
Corneille
La Terre saigne depuis la nuit des temps
De grandes misères et de guerres souvent
Et pour chaque soldat qui rentre, une femme attend
Les hommes, les pires et les tout-puissants
Les pires bourreaux et même Adolf vivant
Avaient tous au moins une femme qui les aimait tant
Quand c’est pas une sœur, c’est une mère qui aime
Et quand c’est pas la mère, c’est l’épouse qui aime
Et quand c’est pas l’épouse, c’est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{Refrain:}
Si c’est vrai qu’elles nous pardonnent tout
Si c’est vrai qu’elles nous aiment malgré tout
Si c’est vrai qu’elles donnent aux hommes le jour
Moi je dis, que le bon Dieu est une femme
Nos mères paient depuis la nuit des temps
Depuis l’histoire de la pomme d’Adam
Elles portent les maux et les torts
Du monde tout leur vivant
Le ciel bénisse la femme qui aime encore
Un infidèle jusqu’à la mort
Faut être Dieu pour être trahi et aimer plus fort
Quand c’est pas une sœur, c’est une mère qui aime
Et quand c’est pas la mère, c’est l’épouse qui aime
Et quand c’est pas l’épouse, c’est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{au Refrain}
Si l’or du monde était dans la main d’une femme
On lui ferait la cour pour l’avoir
Imagine les hommes
S’ils n’avaient qu’à chanter l’amour pour avoir
{au Refrain, x2}
De grandes misères et de guerres souvent
Et pour chaque soldat qui rentre, une femme attend
Les hommes, les pires et les tout-puissants
Les pires bourreaux et même Adolf vivant
Avaient tous au moins une femme qui les aimait tant
Quand c’est pas une sœur, c’est une mère qui aime
Et quand c’est pas la mère, c’est l’épouse qui aime
Et quand c’est pas l’épouse, c’est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{Refrain:}
Si c’est vrai qu’elles nous pardonnent tout
Si c’est vrai qu’elles nous aiment malgré tout
Si c’est vrai qu’elles donnent aux hommes le jour
Moi je dis, que le bon Dieu est une femme
Nos mères paient depuis la nuit des temps
Depuis l’histoire de la pomme d’Adam
Elles portent les maux et les torts
Du monde tout leur vivant
Le ciel bénisse la femme qui aime encore
Un infidèle jusqu’à la mort
Faut être Dieu pour être trahi et aimer plus fort
Quand c’est pas une sœur, c’est une mère qui aime
Et quand c’est pas la mère, c’est l’épouse qui aime
Et quand c’est pas l’épouse, c’est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{au Refrain}
Si l’or du monde était dans la main d’une femme
On lui ferait la cour pour l’avoir
Imagine les hommes
S’ils n’avaient qu’à chanter l’amour pour avoir
{au Refrain, x2}