Les paroles de la chanson
« Le bistrot »
Maxime Le Forestier
Dans un coin pourri
Du pauvre Paris
Sur une place
L’est un vieux bistrot
Tenu pas un gros
Dégueulasse.
Si t’as le bec fin
S’il te faut du vin
De première classe
Va boire à Passy
Le nectar d’ici
Te dépasse.
Mais si t’as l’gosier
Qu’une armure d’acier
Matelasse
Goûte à ce velours
Ce petit bleu lourd
De menaces.
Tu trouveras là
La fine fleur de la
Populace
Tous les marmiteux
Les calamiteux
De la place
Qui viennent en rang
Comme les harengs
Voir en face
La belle du bistrot
La femme à ce gros
Dégueulasse.
Que je boive à fond
L’eau de toutes les fon-
-taines Wallace,
Si, dès aujourd’hui
Tu n’es pas séduit
Par la grâce.
De cette jolie fée
Qui, d’un bouge, a fait
Un palace.
Avec ses appas
Du haut jusqu’en bas
Bien en place.
Ces trésors exquis
Qui les embrasse, qui
Les enlace?
Vraiment, c’en est trop!
Tout ça pour ce gros
Dégueulasse!
C’est injuste et fou
Mais que voulez-vous
Qu’on y fasse?
L’amour se fait vieux
Il a plus les yeux
Bien en face.
Si tu fais ta cour
Tâche que tes discours
Ne l’agacent.
Sois poli, mon gars
Pas de geste ou ga-
-re à la casse.
Car sa main qui claqu’e
Punit d’un flic-flac
Les audaces.
Certes, il n’est pas né
Qui mettra le nez
Dans sa tasse.
Pas né, le chanceux
Qui dégèl’ra ce
Bloc de glace
Qui fera dans l’dos
Les cornes à ce gros
Dégueulasse.
Dans un coin pourri
Du pauvre Paris
Sur une place
Une espèce de fée
D’un vieux bouge a fait
Un palace.
Du pauvre Paris
Sur une place
L’est un vieux bistrot
Tenu pas un gros
Dégueulasse.
Si t’as le bec fin
S’il te faut du vin
De première classe
Va boire à Passy
Le nectar d’ici
Te dépasse.
Mais si t’as l’gosier
Qu’une armure d’acier
Matelasse
Goûte à ce velours
Ce petit bleu lourd
De menaces.
Tu trouveras là
La fine fleur de la
Populace
Tous les marmiteux
Les calamiteux
De la place
Qui viennent en rang
Comme les harengs
Voir en face
La belle du bistrot
La femme à ce gros
Dégueulasse.
Que je boive à fond
L’eau de toutes les fon-
-taines Wallace,
Si, dès aujourd’hui
Tu n’es pas séduit
Par la grâce.
De cette jolie fée
Qui, d’un bouge, a fait
Un palace.
Avec ses appas
Du haut jusqu’en bas
Bien en place.
Ces trésors exquis
Qui les embrasse, qui
Les enlace?
Vraiment, c’en est trop!
Tout ça pour ce gros
Dégueulasse!
C’est injuste et fou
Mais que voulez-vous
Qu’on y fasse?
L’amour se fait vieux
Il a plus les yeux
Bien en face.
Si tu fais ta cour
Tâche que tes discours
Ne l’agacent.
Sois poli, mon gars
Pas de geste ou ga-
-re à la casse.
Car sa main qui claqu’e
Punit d’un flic-flac
Les audaces.
Certes, il n’est pas né
Qui mettra le nez
Dans sa tasse.
Pas né, le chanceux
Qui dégèl’ra ce
Bloc de glace
Qui fera dans l’dos
Les cornes à ce gros
Dégueulasse.
Dans un coin pourri
Du pauvre Paris
Sur une place
Une espèce de fée
D’un vieux bouge a fait
Un palace.