Les paroles de la chanson
« Le bâtiment »
Da Silva
Je mise tout sur le vent
Sur le bord de mes fenêtres
J’ai déposé mes tourments
Et le reste de mes calvaires
Je mise tout sur le vent
Je fais tapis volant
Impatient, j’attends
Que la pierre se fissure
Au premier battement
D’aile d’un pinçon
Ou à l’arrivée des ouragans
Je mise tout sur le vent
[Refrain]
Que la façade s’effondre
Et emporte le bâtiment
Qu’il ne reste rien sous les eaux
De ce nous étions avant
Que la façade s’effondre
Et emporte le bâtiment
Qu’il ne reste rien
De ce que nous étions vraiment
Doucement je m’allonge
Dans un lit de souvenirs
Le chant des sirènes me revient
Je perds le fil il y a du monde sur le pont
Le vaisseau scintille
Et je m’accroche à la corde
La chaîne se fait sensible
Je ne sortirais pas de l’adrénaline
La jugulaire palpite
Il est temps, il est temps
[Refrain]
Sur le bord de mes fenêtres
J’ai déposé mes tourments
Et le reste de mes calvaires
Je mise tout sur le vent
Je fais tapis volant
Impatient, j’attends
Que la pierre se fissure
Au premier battement
D’aile d’un pinçon
Ou à l’arrivée des ouragans
Je mise tout sur le vent
[Refrain]
Que la façade s’effondre
Et emporte le bâtiment
Qu’il ne reste rien sous les eaux
De ce nous étions avant
Que la façade s’effondre
Et emporte le bâtiment
Qu’il ne reste rien
De ce que nous étions vraiment
Doucement je m’allonge
Dans un lit de souvenirs
Le chant des sirènes me revient
Je perds le fil il y a du monde sur le pont
Le vaisseau scintille
Et je m’accroche à la corde
La chaîne se fait sensible
Je ne sortirais pas de l’adrénaline
La jugulaire palpite
Il est temps, il est temps
[Refrain]