Les paroles de la chanson
« Le bar de l'escadrille »
Marie-José
De grands garçons très francs
Amis du firmament
Les yeux pleins de lumière
Et sans nulle manière
Dans le matin serein
D’une journée sans fin
Calmement décollaient
C’était encore la paix
Au bar de l’Escadrille
Parmi les rires et les trilles
Ils fêtaient leurs champions
Au retour des missions
Tous les dangers du ciel
Leur semblaient irréels
Les filles bien plus belles
Et plus fortes leurs ailes!
Mais hélas un matin
La vraie guerre survint
Leurs rires se figèrent
Et leurs traits se crispèrent
Sous le ciel tout en feu
Quels combats valeureux!
Les avions qui flambaient
Les balles qui fauchaient
A bar de l’Escadrille
Finis les rires et les trilles
On comptait les absents
Tombés si crânement
Une immense douleur
Leur déchirait le cœur
Les filles étaient moins belles
Et moins fortes leurs ailes!
Ce fut le calme enfin
Et puis le grand chagrin
Les carlingues blessées
Les ailes transpercées
On pleure les amis
A tout jamais partis
En se disant, déjà
Du grand jour qui viendra
Au bar de l’Escadrille
Revivront, les rires, les trilles
Quand dans le ciel plus beau
D’un monde enfin nouveau
Les avions de demain
Pour le bonheur humain
Dans la paix éternelle
Feront frémir leurs ailes.
Amis du firmament
Les yeux pleins de lumière
Et sans nulle manière
Dans le matin serein
D’une journée sans fin
Calmement décollaient
C’était encore la paix
Au bar de l’Escadrille
Parmi les rires et les trilles
Ils fêtaient leurs champions
Au retour des missions
Tous les dangers du ciel
Leur semblaient irréels
Les filles bien plus belles
Et plus fortes leurs ailes!
Mais hélas un matin
La vraie guerre survint
Leurs rires se figèrent
Et leurs traits se crispèrent
Sous le ciel tout en feu
Quels combats valeureux!
Les avions qui flambaient
Les balles qui fauchaient
A bar de l’Escadrille
Finis les rires et les trilles
On comptait les absents
Tombés si crânement
Une immense douleur
Leur déchirait le cœur
Les filles étaient moins belles
Et moins fortes leurs ailes!
Ce fut le calme enfin
Et puis le grand chagrin
Les carlingues blessées
Les ailes transpercées
On pleure les amis
A tout jamais partis
En se disant, déjà
Du grand jour qui viendra
Au bar de l’Escadrille
Revivront, les rires, les trilles
Quand dans le ciel plus beau
D’un monde enfin nouveau
Les avions de demain
Pour le bonheur humain
Dans la paix éternelle
Feront frémir leurs ailes.