Les paroles de la chanson
« Le 24 juillet »
Ginette Reno
Lentement
Oh j’ai reçu et lu ta lettre
Lentement
Et toutes les sirènes au large se sont tues
Une larme a roulé sur ma statue
Doucement
Tu m’as tuée en quelques lignes
Doucement
Quelques mots en plein cœur, plus noirs que le journal
C’est drôle, je n’ai même pas eu mal
J’ai froid
Ce 24 juillet
Qu’est-ce que les blés sont bas
Qu’est-ce que le vent du ciel est frais
J’ai froid
Tout l’été se défait
Tout l’hiver entre en moi
Ce 24 juillet
Il fait beau
Mais j’ai froid
Forcément
On a vécu sous trop d’orages
Forcément
Le bonheur, c’est comme un décor des mers du Sud
C’est du soleil parmi la solitude
Lentement
Je vais rentrer dans mon écorce
Lentement
Reprendre sous la terre des forces pour plus tard
Pour quand mes nuits n’auront plus de mémoire
J’ai froid
Ce 24 juillet
Qu’est-ce que ma vie s’en va
J’ai trop froid
Pour courir après
Que tout mon corps se taise
D’un cri plus fort que moi
C’est un soir de juillet
Il fait beau
Mais j’ai froid
Oh j’ai reçu et lu ta lettre
Lentement
Et toutes les sirènes au large se sont tues
Une larme a roulé sur ma statue
Doucement
Tu m’as tuée en quelques lignes
Doucement
Quelques mots en plein cœur, plus noirs que le journal
C’est drôle, je n’ai même pas eu mal
J’ai froid
Ce 24 juillet
Qu’est-ce que les blés sont bas
Qu’est-ce que le vent du ciel est frais
J’ai froid
Tout l’été se défait
Tout l’hiver entre en moi
Ce 24 juillet
Il fait beau
Mais j’ai froid
Forcément
On a vécu sous trop d’orages
Forcément
Le bonheur, c’est comme un décor des mers du Sud
C’est du soleil parmi la solitude
Lentement
Je vais rentrer dans mon écorce
Lentement
Reprendre sous la terre des forces pour plus tard
Pour quand mes nuits n’auront plus de mémoire
J’ai froid
Ce 24 juillet
Qu’est-ce que ma vie s’en va
J’ai trop froid
Pour courir après
Que tout mon corps se taise
D’un cri plus fort que moi
C’est un soir de juillet
Il fait beau
Mais j’ai froid