Les paroles de la chanson
« Larmes de crocodiles »
Olivia Ruiz
Je pleure des larmes de crocodiles
Certaines fondées d’autres futiles
Depuis que tu es parti, Paris est sous mes eaux
C’est ton fantôme qui joue avec une bombe lacrymo
Ou bien il souffle dans mes yeux
Et son haleine mentholée fait couler nos adieux
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Je pleure à noyer mes chevilles
Je pleure à émouvoir les chenilles
Depuis que tu es parti, Paris est tellement moins beau
C’est ton fantôme qui graffe sur les murs nos maux
Ou un voile de regrets sur mes yeux
La Seine est triste depuis qu’elle a bu nos adieux
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Je pleure au point que j’ai maigri
Tout n’est donc pas perdu
Depuis que tu es parti, je bois beaucoup d’eau
C’est ton fantôme qui me force à fumer trop
Demain j’aurai de nouveaux yeux
Pour aimer, pour chérir et pour croire au Bon Dieu
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Tant vont mes peurs à l’eau
Qu’à la fin elles me noient
Mais Paris me protège
Oui, Paris est à moi
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Certaines fondées d’autres futiles
Depuis que tu es parti, Paris est sous mes eaux
C’est ton fantôme qui joue avec une bombe lacrymo
Ou bien il souffle dans mes yeux
Et son haleine mentholée fait couler nos adieux
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Je pleure à noyer mes chevilles
Je pleure à émouvoir les chenilles
Depuis que tu es parti, Paris est tellement moins beau
C’est ton fantôme qui graffe sur les murs nos maux
Ou un voile de regrets sur mes yeux
La Seine est triste depuis qu’elle a bu nos adieux
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Je pleure au point que j’ai maigri
Tout n’est donc pas perdu
Depuis que tu es parti, je bois beaucoup d’eau
C’est ton fantôme qui me force à fumer trop
Demain j’aurai de nouveaux yeux
Pour aimer, pour chérir et pour croire au Bon Dieu
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent
Tant vont mes peurs à l’eau
Qu’à la fin elles me noient
Mais Paris me protège
Oui, Paris est à moi
Je pleure, je pleure comme une enfant
Tant mieux, me dit ma mère, tu pisseras moins souvent