Les paroles de la chanson
« Lamento »
Alain Barrière
Si l’heure venait de faire en moi le bilan
De voir ce qu’il reste de mes rêves d’enfant
Je crois qu’à tout prendre il me vient un regret
Ce droit, ce pouvoir que personne n’eut jamais
Oui, cette vie-là qu’un jour on m’a concédée
À deux êtres au moins, j’aurais voulu la donner
Oh oh oh oh...
Passant par l’Espagne, j’aurais voulu dire encore
Un dernier adieu au merveilleux matador
Mais celui que j’aimais ne jouait pas de l’épée
Il chantait l’Espagne et les nuits chaudes et l’été
Que par les montagnes se répercute l’écho
L’Andalousie pleure, entends-la, Federico!
Oh oh oh oh...
J’avais un ami de l’autre côté des mers
L’un des derniers justes, il allait droit, le front fier
Mais dans ce monde fou dès qu’une étoile paraît
Cela suffit bien pour qu’on l’éteigne à jamais
Quand le berger tombe, piétiné par les brebis
Vois que nos mains tremblent à ton nom, John Kennedy!
Oh oh oh oh...
Tout cela n’est rien si déjà je pouvais croire
En nos lendemains sans me raconter d’histoires
Mais, mais s’il fut des hommes dont la sagesse étonnait
Notre pauvre monde s’en éloigne à jamais
Et la guerre dure à tout ce que l’on m’a dit
Depuis tant de siècles mais on n’a donc rien compris!
Oh oh oh oh...
De voir ce qu’il reste de mes rêves d’enfant
Je crois qu’à tout prendre il me vient un regret
Ce droit, ce pouvoir que personne n’eut jamais
Oui, cette vie-là qu’un jour on m’a concédée
À deux êtres au moins, j’aurais voulu la donner
Oh oh oh oh...
Passant par l’Espagne, j’aurais voulu dire encore
Un dernier adieu au merveilleux matador
Mais celui que j’aimais ne jouait pas de l’épée
Il chantait l’Espagne et les nuits chaudes et l’été
Que par les montagnes se répercute l’écho
L’Andalousie pleure, entends-la, Federico!
Oh oh oh oh...
J’avais un ami de l’autre côté des mers
L’un des derniers justes, il allait droit, le front fier
Mais dans ce monde fou dès qu’une étoile paraît
Cela suffit bien pour qu’on l’éteigne à jamais
Quand le berger tombe, piétiné par les brebis
Vois que nos mains tremblent à ton nom, John Kennedy!
Oh oh oh oh...
Tout cela n’est rien si déjà je pouvais croire
En nos lendemains sans me raconter d’histoires
Mais, mais s’il fut des hommes dont la sagesse étonnait
Notre pauvre monde s’en éloigne à jamais
Et la guerre dure à tout ce que l’on m’a dit
Depuis tant de siècles mais on n’a donc rien compris!
Oh oh oh oh...