Les paroles de la chanson
« Laissez-nous respirer »
Florent Pagny
Je ne ferai pas ça
Parce que vous l’avez commandé
Je n’irai pas par là
Parce que vous l’avez décidé
J’aimerais pouvoir parler
J’aimerais pouvoir vous expliquer
Pouvoir vous dire :
"Arrêtez d’vous tromper"
Arrêtez d’pas comprendre
Arrêtez vos conneries
Arrêtez d’pas entendre
Arrêtez d’croire que tout est toujours
Comme vous l’avez décidé
Arrêtez d’tout casser
{Refrain:}
Eh vous Messieurs les plus grands
Oui vous Messieurs les plus forts
Messieurs les plus chiants
Vous qu’avez jamais tort
Oh vous les envahissants
Oui vous qui parlez trop fort
Toujours suffisants
Vous avez souvent tort
Alors laissez nous vivre not’vie
Nous les soi-disant soi-disants petits
Laissez nous respirer
Y a que vous qu’êtes parfaits
Y a que vous qui savez
Alors dites-moi comment on fait
Pour pas se rencontrer
Vous et nous les petits
Nous qui n’connaissons rien d’la vie
Vous savez c’qu’on vous dit
{au Refrain}
Eh vous Messieurs les plus grands
Oui vous Messieurs les plus forts
Messieurs les plus chiants
Vous qu’avez jamais tort
Oh vous les envahissants
Oui vous qui parlez trop fort
Toujours suffisants
Vous avez pourtant tort.
Parce que vous l’avez commandé
Je n’irai pas par là
Parce que vous l’avez décidé
J’aimerais pouvoir parler
J’aimerais pouvoir vous expliquer
Pouvoir vous dire :
"Arrêtez d’vous tromper"
Arrêtez d’pas comprendre
Arrêtez vos conneries
Arrêtez d’pas entendre
Arrêtez d’croire que tout est toujours
Comme vous l’avez décidé
Arrêtez d’tout casser
{Refrain:}
Eh vous Messieurs les plus grands
Oui vous Messieurs les plus forts
Messieurs les plus chiants
Vous qu’avez jamais tort
Oh vous les envahissants
Oui vous qui parlez trop fort
Toujours suffisants
Vous avez souvent tort
Alors laissez nous vivre not’vie
Nous les soi-disant soi-disants petits
Laissez nous respirer
Y a que vous qu’êtes parfaits
Y a que vous qui savez
Alors dites-moi comment on fait
Pour pas se rencontrer
Vous et nous les petits
Nous qui n’connaissons rien d’la vie
Vous savez c’qu’on vous dit
{au Refrain}
Eh vous Messieurs les plus grands
Oui vous Messieurs les plus forts
Messieurs les plus chiants
Vous qu’avez jamais tort
Oh vous les envahissants
Oui vous qui parlez trop fort
Toujours suffisants
Vous avez pourtant tort.