Les paroles de la chanson
« La youpi… allai ! »
Boby Lapointe
Comme il avait un cor, il prit l’autobus
Et la receveuse maligne
Qui avait remarqué son petit air minus,
Pour rire, l’appela "Bout de ligne"
"Ah! dit-il, mad’moiselle, mon nom, c’est Boudassié
Et je ne voudrais pas que vous me boudassiez."
[ Refrain : ]
Car... pour... la... "Youpi, allez!",
Je ne suis pas estropié.
Je suis le "Youpi, allez!"
Des femmes de mon quartier.
Je leur fais "Youpi, allez!"
Et c’est le pied.
J’ai le secret, j’ai le biais.
Si des pieds plats m’épiaient,
Ils en s’raient pour leurs pieds.
Dans c’que j’ai dit, grapillez.
Ce n’est pas sur papier
Que j’vais vous l’recopier.
Lui contant ses fredaines, au bout d’un quart d’heure,
Il avouait "Je crains Hélène" (crin et laine).
Pour rir’ la receveus’ dit : "Vous êtes cardeur?"
Il lui répliqua tout d’une haleine (une alène) :
"Sachez-le mad’moiselle, je suis matelassier
Et je vous materai comme je mate l’acier."
[ Refrain ]
La pauvre receveus’ de l’RATP
Que ces parol’ dur’ émurent,
Lui dit dans un murmure, d’un air atterré :
"De moins durs me voulur’ et m’eurent.
Ce que vous me dites là, mon petit rat, m’assied
Mais... J’ai perdu le fil. Faut qu’vous le ramassiez.
...Ah! Ça y est! je l’ai retrouvé!"
Ouais... pour... la... "Youpi, allez!"
Je ne suis pas estropié.
Je s’rai le " Youpi, allez!"
D’une femme d’vot’quartier.
Je vous f’rai "Youpi, allez!"
Ça s’ra le pied.
Ça n’sera jamais râpé
Mêm’ s’il me faut... la paix
Pour vous donner la paix.
C’que j’ai dit c’est pas pompier,
Mais c’n’est pas sur papier
Que j’peux vous l’recopier...
...du mur.
Et la receveuse maligne
Qui avait remarqué son petit air minus,
Pour rire, l’appela "Bout de ligne"
"Ah! dit-il, mad’moiselle, mon nom, c’est Boudassié
Et je ne voudrais pas que vous me boudassiez."
[ Refrain : ]
Car... pour... la... "Youpi, allez!",
Je ne suis pas estropié.
Je suis le "Youpi, allez!"
Des femmes de mon quartier.
Je leur fais "Youpi, allez!"
Et c’est le pied.
J’ai le secret, j’ai le biais.
Si des pieds plats m’épiaient,
Ils en s’raient pour leurs pieds.
Dans c’que j’ai dit, grapillez.
Ce n’est pas sur papier
Que j’vais vous l’recopier.
Lui contant ses fredaines, au bout d’un quart d’heure,
Il avouait "Je crains Hélène" (crin et laine).
Pour rir’ la receveus’ dit : "Vous êtes cardeur?"
Il lui répliqua tout d’une haleine (une alène) :
"Sachez-le mad’moiselle, je suis matelassier
Et je vous materai comme je mate l’acier."
[ Refrain ]
La pauvre receveus’ de l’RATP
Que ces parol’ dur’ émurent,
Lui dit dans un murmure, d’un air atterré :
"De moins durs me voulur’ et m’eurent.
Ce que vous me dites là, mon petit rat, m’assied
Mais... J’ai perdu le fil. Faut qu’vous le ramassiez.
...Ah! Ça y est! je l’ai retrouvé!"
Ouais... pour... la... "Youpi, allez!"
Je ne suis pas estropié.
Je s’rai le " Youpi, allez!"
D’une femme d’vot’quartier.
Je vous f’rai "Youpi, allez!"
Ça s’ra le pied.
Ça n’sera jamais râpé
Mêm’ s’il me faut... la paix
Pour vous donner la paix.
C’que j’ai dit c’est pas pompier,
Mais c’n’est pas sur papier
Que j’peux vous l’recopier...
...du mur.