Les paroles de la chanson
« La voleuse »
Anna Prucnal
Elle attend à ta porte
Elle attend à la vie
Elle attend que tu sortes
Elle attend que tu cries
Elle se fait la morte
Quand tu te fais la vie
Elle, derrière ta porte
Elle, derrière ta vie
Elle attend que tu sortes
Quand tu fais l’endormie
Elle se fait l’âme morte
Elle se fait l’oubli
Ne veut plus que tu sortes
Ne veut plus que tu cries
Ne veut plus que tu portes
A la terre ses fruits
Au soleil la lumière
A la rue sa maison
A l’eau sa rivière
A ton coeur la passion
A ton âme guerrière
A ta ruse et raison
A ta rage première
Ton rire sans façon
Et tes larmes amères
D’amour de saison
Toi qui armes tes guerres
A grands coups d’horizon
Et toi qui lui préfères
Les troupeaux en partance
Les lois de l’Univers
Qui éclatent, qui dansent
La jeunesse du cri
La folle innocence
La vertu de la haine
Chez celui qui combat
Et celui qui t’emmène
Par la main et s’en va
Qui ne crie pas sa peine
Et qui n’a pas de loi
Qu’on croirait inconnu
Et qui ne parle pas
Qui n’est jamais venu
S’allonger devant toi
Toi qui guettes à ma porte
Et qui te joues de moi
Qui attends que je sorte
Que je sorte du bois
Que je quitte mon ciel
Abandonne mes rives
Mes rives
Elle attend à ta porte
Elle attend à ta vie
Elle attend que tu sortes
Elle attend que tu cries
Elle attend, la faucheuse
La voleuse de vie
Elle attend, la voleuse
Elle attend que j’oublie
Que j’oublie...
Elle attend à la vie
Elle attend que tu sortes
Elle attend que tu cries
Elle se fait la morte
Quand tu te fais la vie
Elle, derrière ta porte
Elle, derrière ta vie
Elle attend que tu sortes
Quand tu fais l’endormie
Elle se fait l’âme morte
Elle se fait l’oubli
Ne veut plus que tu sortes
Ne veut plus que tu cries
Ne veut plus que tu portes
A la terre ses fruits
Au soleil la lumière
A la rue sa maison
A l’eau sa rivière
A ton coeur la passion
A ton âme guerrière
A ta ruse et raison
A ta rage première
Ton rire sans façon
Et tes larmes amères
D’amour de saison
Toi qui armes tes guerres
A grands coups d’horizon
Et toi qui lui préfères
Les troupeaux en partance
Les lois de l’Univers
Qui éclatent, qui dansent
La jeunesse du cri
La folle innocence
La vertu de la haine
Chez celui qui combat
Et celui qui t’emmène
Par la main et s’en va
Qui ne crie pas sa peine
Et qui n’a pas de loi
Qu’on croirait inconnu
Et qui ne parle pas
Qui n’est jamais venu
S’allonger devant toi
Toi qui guettes à ma porte
Et qui te joues de moi
Qui attends que je sorte
Que je sorte du bois
Que je quitte mon ciel
Abandonne mes rives
Mes rives
Elle attend à ta porte
Elle attend à ta vie
Elle attend que tu sortes
Elle attend que tu cries
Elle attend, la faucheuse
La voleuse de vie
Elle attend, la voleuse
Elle attend que j’oublie
Que j’oublie...