Les paroles de la chanson
« La voix »
Robert Cogoi
Je ne veux de personne auprès de ma tristesse
Ni même ton cher pas et ton visage aimé
Ni ta main indolente et qui d’un doigt caresse
Le ruban paresseux et le livre fermé
Ni ta main indolente et qui d’un doigt caresse
Le ruban paresseux et le livre fermé
Laissez-moi aujourd’hui. Que ma porte reste close
N’ouvrez pas ma fenêtre au vent frais du matin
Mon cœur est aujourd’hui misérable et morose
Et tout me paraît sombre et tout me semble vain
Mon cœur est aujourd’hui misérable et morose
Et tout me paraît sombre et tout me semble vain
Ma tristesse me vient de plus loin que moi-même
Elle m’est étrangère et ne m’appartient pas
Et tout homme, qu’il chante ou qu’il rie ou qu’il aime
À son heure l’entend qui lui parle tout bas
Et tout homme, qu’il chante ou qu’il rie ou qu’il aime
À son heure l’entend qui lui parle tout bas
Et quelque chose alors se remue et s’éveille
S’agite, se répand et se lamente en lui
À cette sourde voix qui lui dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans son fruit
À cette sourde voix qui lui dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans son fruit
Et quelque chose alors se remue et s’éveille
S’agite et se répand et se lamente en moi
À cette sourde voix qui me dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans sa foi
À cette sourde voix qui me dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans sa foi
Ni même ton cher pas et ton visage aimé
Ni ta main indolente et qui d’un doigt caresse
Le ruban paresseux et le livre fermé
Ni ta main indolente et qui d’un doigt caresse
Le ruban paresseux et le livre fermé
Laissez-moi aujourd’hui. Que ma porte reste close
N’ouvrez pas ma fenêtre au vent frais du matin
Mon cœur est aujourd’hui misérable et morose
Et tout me paraît sombre et tout me semble vain
Mon cœur est aujourd’hui misérable et morose
Et tout me paraît sombre et tout me semble vain
Ma tristesse me vient de plus loin que moi-même
Elle m’est étrangère et ne m’appartient pas
Et tout homme, qu’il chante ou qu’il rie ou qu’il aime
À son heure l’entend qui lui parle tout bas
Et tout homme, qu’il chante ou qu’il rie ou qu’il aime
À son heure l’entend qui lui parle tout bas
Et quelque chose alors se remue et s’éveille
S’agite, se répand et se lamente en lui
À cette sourde voix qui lui dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans son fruit
À cette sourde voix qui lui dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans son fruit
Et quelque chose alors se remue et s’éveille
S’agite et se répand et se lamente en moi
À cette sourde voix qui me dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans sa foi
À cette sourde voix qui me dit à l’oreille
Que la fleur de la vie est cendre dans sa foi