Les paroles de la chanson
« La voisine des oiseaux »
Sanseverino
Ta vraie noblesse c’est l’amnésie, tu oublies, les noms
Tout est mêlé : c’que tu dis, les objets, les prix,
Tu ne distingues pas le ré du si, ta dyslexie est si sexy
Tu es voisine d’une usine à oiseaux,
Des corbeaux qui volent là haut
Survolent tout de tout en haut, mais ne confonds pas,
La maladie et la maladresse, les non-dits, les promesses
Tu confonds, les expressions, comme «bayer aux corneilles»,
Non ce n’est pas endormir une cage à oiseaux remplie de tourterelles
Insomniaques gênées par des serins et des cailles, aux raisins
Le mensonge et la méfiance, le secret, l’indi...scret,
Sont autant de mots que tu prends l’un pour l’autre.
Comme tu mélanges les dieux et les anges,
Il faut qu’ça s’arrange.
Tu confonds tous les noms,
Le massacre de la Saint-Valentin par exemple
Avec je ne sais quoi, l’Edit de Nantes et Barbara,
Edith Piaf et Lady Madonna
Tu en prendras pour dix ans, dans l’armée, de l’air... de rien,
Puis resteras dans les nuages, ou dans les alpages, des cieux
Où l’on voit mieux les yeux des oiseaux,
Où les ailes des avions se confondent avec les araignées que tu as...
Au plafond.
Tout est mêlé : c’que tu dis, les objets, les prix,
Tu ne distingues pas le ré du si, ta dyslexie est si sexy
Tu es voisine d’une usine à oiseaux,
Des corbeaux qui volent là haut
Survolent tout de tout en haut, mais ne confonds pas,
La maladie et la maladresse, les non-dits, les promesses
Tu confonds, les expressions, comme «bayer aux corneilles»,
Non ce n’est pas endormir une cage à oiseaux remplie de tourterelles
Insomniaques gênées par des serins et des cailles, aux raisins
Le mensonge et la méfiance, le secret, l’indi...scret,
Sont autant de mots que tu prends l’un pour l’autre.
Comme tu mélanges les dieux et les anges,
Il faut qu’ça s’arrange.
Tu confonds tous les noms,
Le massacre de la Saint-Valentin par exemple
Avec je ne sais quoi, l’Edit de Nantes et Barbara,
Edith Piaf et Lady Madonna
Tu en prendras pour dix ans, dans l’armée, de l’air... de rien,
Puis resteras dans les nuages, ou dans les alpages, des cieux
Où l’on voit mieux les yeux des oiseaux,
Où les ailes des avions se confondent avec les araignées que tu as...
Au plafond.