Les paroles de la chanson
« La violette africaine »
Joe Dassin
Elle m’a confié pour l’été sa plante verte, une violette africaine,
Elle m’a fait la bise et puis elle est parti comme une fleur, vers une plage lointaine
Elle nous avait planté là, ma plante et moi ensemble, je l’arrosais
Pendant toute la belle saison on patientait à l’ombre, on attendait
Ma plante perdait ses pétales et moi je dormais mal, c’était septembre
Nous vivions à petit feu, nous attendions tout les deux, lasses d’attendre
Je la négligeais un peu, elle ne m’en voulait pas, elle comprenait
On passait des folles nuits devant notre télé, on s’amusait
Ma violette africaine
Fleurs de printemps s’en viennent, s’en vont
On retrouve dans la peine
Ses compagnons des quatre saisons
Nous étions abandonnés, et comme les nuits d’hiver se faisaient longues
Je ramenais à la maison des copains, des chiens perdus, des vagabondes
Et ma plante vivait d’mégots et d’épingles à cheveux, elle se fanait
Elle se penchait vers la vitre, guettant sa maîtresse ou un peu de soleil
Le printemps a mis longtemps à m’apporter une gentille demoiselle
Elle m’a rebrisé le cœur; elle a rangé mes placards et mis ma plante à la poubelle
Mais j’ai sauvé ma camarade, elle a reintégré sa cheminée
On n’oublie pas ses amis à cause d’une amourette qui vient à passer
Ma violette africaine
Fleurs de printemps s’en viennent, s’en vont
On retrouve dans la peine
Ses compagnons des quatre saisons
Elle m’a fait la bise et puis elle est parti comme une fleur, vers une plage lointaine
Elle nous avait planté là, ma plante et moi ensemble, je l’arrosais
Pendant toute la belle saison on patientait à l’ombre, on attendait
Ma plante perdait ses pétales et moi je dormais mal, c’était septembre
Nous vivions à petit feu, nous attendions tout les deux, lasses d’attendre
Je la négligeais un peu, elle ne m’en voulait pas, elle comprenait
On passait des folles nuits devant notre télé, on s’amusait
Ma violette africaine
Fleurs de printemps s’en viennent, s’en vont
On retrouve dans la peine
Ses compagnons des quatre saisons
Nous étions abandonnés, et comme les nuits d’hiver se faisaient longues
Je ramenais à la maison des copains, des chiens perdus, des vagabondes
Et ma plante vivait d’mégots et d’épingles à cheveux, elle se fanait
Elle se penchait vers la vitre, guettant sa maîtresse ou un peu de soleil
Le printemps a mis longtemps à m’apporter une gentille demoiselle
Elle m’a rebrisé le cœur; elle a rangé mes placards et mis ma plante à la poubelle
Mais j’ai sauvé ma camarade, elle a reintégré sa cheminée
On n’oublie pas ses amis à cause d’une amourette qui vient à passer
Ma violette africaine
Fleurs de printemps s’en viennent, s’en vont
On retrouve dans la peine
Ses compagnons des quatre saisons