Les paroles de la chanson
« La ville avait saigné ses coqs »
Bernard Lavilliers
Fleur carnivore d’aéroport
Bijou fragile roule et rutile
Où sont tes ailes pour le futur?
Si tu choisis d’enfanter la démesure
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne
Des étagères pour les idées
Un vieil enfer à réchauffer
La femme objet dans la baignoire
Et la misère au Brown Sugar
Le lit est froid un vrai poignard
C’est le parking du désespoir
Le ciel est bleu comme en enfer
Sur Las Vegas dans le désert
Mais...
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne
Les lumières jaunes de notre zone
Sentent l’ozone et la mer
Les tueurs pâles de l’arrière salle
Vont te parler en plein air
Dealers de mots et de boussoles
D’idées usées par la racole
Castreurs séniles aux ongles noirs
Tout se bouscule dans l’entonnoir
Les soirs craquants où tu hésites
Entre la marge et sa limite
Quand tu es là contre sa peau
Bien à l’abri dans tes yeux clos
Ils vont te braquer au bout du voyage
Si t’es encore vivant, pour refermer la cage
Ne signe pas la carte et flambe les dollars
Sinon tu n’es plus rien desséché, dérisoire!
Tu ne veux pas te vendre, alors tu meurs!
On te bouffera de l’intérieur
Sois une flèche en altitude!
Un baiser dans la solitude
Mais...
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne
Bijou fragile roule et rutile
Où sont tes ailes pour le futur?
Si tu choisis d’enfanter la démesure
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne
Des étagères pour les idées
Un vieil enfer à réchauffer
La femme objet dans la baignoire
Et la misère au Brown Sugar
Le lit est froid un vrai poignard
C’est le parking du désespoir
Le ciel est bleu comme en enfer
Sur Las Vegas dans le désert
Mais...
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne
Les lumières jaunes de notre zone
Sentent l’ozone et la mer
Les tueurs pâles de l’arrière salle
Vont te parler en plein air
Dealers de mots et de boussoles
D’idées usées par la racole
Castreurs séniles aux ongles noirs
Tout se bouscule dans l’entonnoir
Les soirs craquants où tu hésites
Entre la marge et sa limite
Quand tu es là contre sa peau
Bien à l’abri dans tes yeux clos
Ils vont te braquer au bout du voyage
Si t’es encore vivant, pour refermer la cage
Ne signe pas la carte et flambe les dollars
Sinon tu n’es plus rien desséché, dérisoire!
Tu ne veux pas te vendre, alors tu meurs!
On te bouffera de l’intérieur
Sois une flèche en altitude!
Un baiser dans la solitude
Mais...
N’appartiens jamais à personne
N’appartiens jamais, n’appartiens jamais
N’appartiens jamais à personne