Les paroles de la chanson
« La vie réserve des surprises »
Jeanne Et Le Garçon Formidable
{François}
La vie réserve ses surprises
Des choses qu’on n’attendait pas
Souvent ce n’est qu’une bêtise
Un amour qui vient qui s’en va
Mais la vie sait être cruelle
Te plonger dans le désespoir
Et voilà que ta bagatelle
Se transforme en tragique histoire.
Tu rencontres un garçon qui t’aime
Et tu lui offres ton amour
Tu sais qu’ce s’ra pas sans problème
Que ca durera pas toujours.
Mais y a le sida qui s’en mêle
Et tu sais qu’il va en mourir
Alors tu l’aimes de plus belle
Tu veux l’empêcher de souffrir
Mais l’amour n’est pas un remède
Pour ceux que cette mort attend
Et l’amour ne vient pas en aide
A qui voit mourir son amant
Et quand il meurt, putain, t’es triste
Et ton corps réclame son corps
Mais faut bien être réaliste :
L’amour peut rien contre la mort.
Et j’te parle pas d’sa famille
Qui t’avait à peine toléré
Elle vient, elle prend tout et elle pille
Ton amour à peine enterré.
Alors tu te retrouves seul
Comme une veuve de cent ans
Qui a cousu dans son linceul
Son mari mort depuis longtemps.
Mais à trente ans la vie commence
Tu vas pas vivre comme un veuf!
Et aller fleurir le dimanche
Sa tombe avec un bouquet neuf
Tu aimes encore, tu t’abandonnes
Tu crois en l’amour, en la vie
Mais tu sais que ce qu’elle te donne
Aussi vite elle l’aura repris
Tristesse, deuil et puis colère
Te portent au comble du malheur
Alors tu te bats, tu espères
Qu’enfin viendront des jours meilleurs.
Mais d’ici-là que de souffrances!
Combien d’amis, combien d’amants
Mourront encore dans le silence
Mourront si misérablement?
On n’peut plus vivre dans nos rêves
Tous ces fantômes autour de nous
Nous disent que quand un pédé crève...
C’est bien simple : tout le monde s’en fout.
La vie réserve ses surprises
Des choses qu’on n’attendait pas
Souvent ce n’est qu’une bêtise
Un amour qui vient qui s’en va
Mais la vie sait être cruelle
Te plonger dans le désespoir
Et voilà que ta bagatelle
Se transforme en tragique histoire.
Tu rencontres un garçon qui t’aime
Et tu lui offres ton amour
Tu sais qu’ce s’ra pas sans problème
Que ca durera pas toujours.
Mais y a le sida qui s’en mêle
Et tu sais qu’il va en mourir
Alors tu l’aimes de plus belle
Tu veux l’empêcher de souffrir
Mais l’amour n’est pas un remède
Pour ceux que cette mort attend
Et l’amour ne vient pas en aide
A qui voit mourir son amant
Et quand il meurt, putain, t’es triste
Et ton corps réclame son corps
Mais faut bien être réaliste :
L’amour peut rien contre la mort.
Et j’te parle pas d’sa famille
Qui t’avait à peine toléré
Elle vient, elle prend tout et elle pille
Ton amour à peine enterré.
Alors tu te retrouves seul
Comme une veuve de cent ans
Qui a cousu dans son linceul
Son mari mort depuis longtemps.
Mais à trente ans la vie commence
Tu vas pas vivre comme un veuf!
Et aller fleurir le dimanche
Sa tombe avec un bouquet neuf
Tu aimes encore, tu t’abandonnes
Tu crois en l’amour, en la vie
Mais tu sais que ce qu’elle te donne
Aussi vite elle l’aura repris
Tristesse, deuil et puis colère
Te portent au comble du malheur
Alors tu te bats, tu espères
Qu’enfin viendront des jours meilleurs.
Mais d’ici-là que de souffrances!
Combien d’amis, combien d’amants
Mourront encore dans le silence
Mourront si misérablement?
On n’peut plus vivre dans nos rêves
Tous ces fantômes autour de nous
Nous disent que quand un pédé crève...
C’est bien simple : tout le monde s’en fout.