Les paroles de la chanson
« La vie »
Brice
La vision d’une partie recouverte
Comme ce tissu enfermé
Qui ne sait, qui ne veut, qui ne peut, qui ne fait que tenir ma liberté
J’ai pensé aux décombres, à ma perte
Si le vent tournait trop vite
J’ai pensé aux sentiments alertes
Si le cours de l’eau balançait mon gîte
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
La poussière de mes cendres
Feront jaillir les pommiers
Qui porteront mes membres
Jusqu’au soleil auréolé
Et si la vie ne servait qu’à défendre
Ma loyale suite aux idées
Si la vie menait le bien de pendre
À jamais ma loyale suite aux idées
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
Quand je sème à toute indifférence
L’érotique jeu du système
Je rentre bien au fond de ma panse
Retournant les maux de mes peines
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
Comme une improvisation déchirante
Près des pieds d’une foule amusée
Qui crierait je t’adore tu me hantes
Ta prison m’a rendu m’a liberté
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
Comme ce tissu enfermé
Qui ne sait, qui ne veut, qui ne peut, qui ne fait que tenir ma liberté
J’ai pensé aux décombres, à ma perte
Si le vent tournait trop vite
J’ai pensé aux sentiments alertes
Si le cours de l’eau balançait mon gîte
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
La poussière de mes cendres
Feront jaillir les pommiers
Qui porteront mes membres
Jusqu’au soleil auréolé
Et si la vie ne servait qu’à défendre
Ma loyale suite aux idées
Si la vie menait le bien de pendre
À jamais ma loyale suite aux idées
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
Quand je sème à toute indifférence
L’érotique jeu du système
Je rentre bien au fond de ma panse
Retournant les maux de mes peines
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse
Comme une improvisation déchirante
Près des pieds d’une foule amusée
Qui crierait je t’adore tu me hantes
Ta prison m’a rendu m’a liberté
Ainsi va le do, va le ré, va le mi, va la vie, le sol, le dièse