Les paroles de la chanson
« La veuve de joe stan murray »
Julien Clerc
Comme un Bernard l’hermite
Qui se souvient d’anciens palais
Mon cœur coquille vide
Résonne encore d’anciens regrets
Un saxophone bizarre
Pris dans de gluants lichens mous
Raconte sur la plage
L’histoire vieille du G.I. fou
J’écoute monotone
Le bruit de l’acier et du fer
Les vagues d’assaut résonnent
Entre le village et la mer
Le casino en ruines
Frappe de stupeur l’environ
Des canons dans les ruines
Fument l’opium des moissons, des moissons
Ma patience prolifère
De la Province à l’horizon
Reviens dans ton repaire
Mon vieux mollusque ma déraison
Comme une fleur petite
Qui jamais ne se fanerait
Ta petite veuve annamite
T’attend encore Joe Stan Murray
J’écoute monotone
Le bruit de l’acier et du fer
Les vagues d’assaut résonnent
Entre le village et la mer
Le casino en ruines
Frappe de stupeur l’environ
Des canons dans les ruines
Fument l’opium des moissons, des moissons
Deux croupiers agonisent
Frappés à mort par deux harpons
Des mouettes vocalisent
Le programme de l’Opéra de Saïgon
Qui se souvient d’anciens palais
Mon cœur coquille vide
Résonne encore d’anciens regrets
Un saxophone bizarre
Pris dans de gluants lichens mous
Raconte sur la plage
L’histoire vieille du G.I. fou
J’écoute monotone
Le bruit de l’acier et du fer
Les vagues d’assaut résonnent
Entre le village et la mer
Le casino en ruines
Frappe de stupeur l’environ
Des canons dans les ruines
Fument l’opium des moissons, des moissons
Ma patience prolifère
De la Province à l’horizon
Reviens dans ton repaire
Mon vieux mollusque ma déraison
Comme une fleur petite
Qui jamais ne se fanerait
Ta petite veuve annamite
T’attend encore Joe Stan Murray
J’écoute monotone
Le bruit de l’acier et du fer
Les vagues d’assaut résonnent
Entre le village et la mer
Le casino en ruines
Frappe de stupeur l’environ
Des canons dans les ruines
Fument l’opium des moissons, des moissons
Deux croupiers agonisent
Frappés à mort par deux harpons
Des mouettes vocalisent
Le programme de l’Opéra de Saïgon