Les paroles de la chanson
« La veine bleue »
Michèle Bernard
Du fond du puits où l’enfant cherche son image
Du fond des lits où les rêveurs brisent leur cage
Dans les alcôves où couvent les secrets
Les vieux grimoires où grincent les regrets
Du fond des océans où chantent les baleines
Du fond du gouffre où veille un homme des cavernes
Du fond des forêts où rôde le loup
Du fond des mines où rôde le grisou
{Refrain:}
Y a le pas du temps qui piaffe, qui piétine
Y a l’ tambour violent d’ la vie qui s’obstine
Y a cette veine bleue, sur ta tempe, qui me fait si peur
Petite rivière souterraine qui vient s’ jeter dans mon cœur
Y a cette veine bleue, sur ta tempe, qui me fait si peur
Petite rivière souterraine qui vient s’ jeter dans mon cœur
Qui vient s’ jeter dans mon cœur
Du fond des fioles où naissent les potions magiques
Dans les poches percées d’un poète amnésique
Au fond des crevasses, au fond des blessures
Dans le regard d’un homme qu’on torture
Du fond des containers où la terreur se planque
Du fond des coffres-forts, dans le cœur froid des banques
Dans un remords étouffé sous la pierre
Au fond d’un poing serré par la colère
{au Refrain}
Du fond des lits où les rêveurs brisent leur cage
Dans les alcôves où couvent les secrets
Les vieux grimoires où grincent les regrets
Du fond des océans où chantent les baleines
Du fond du gouffre où veille un homme des cavernes
Du fond des forêts où rôde le loup
Du fond des mines où rôde le grisou
{Refrain:}
Y a le pas du temps qui piaffe, qui piétine
Y a l’ tambour violent d’ la vie qui s’obstine
Y a cette veine bleue, sur ta tempe, qui me fait si peur
Petite rivière souterraine qui vient s’ jeter dans mon cœur
Y a cette veine bleue, sur ta tempe, qui me fait si peur
Petite rivière souterraine qui vient s’ jeter dans mon cœur
Qui vient s’ jeter dans mon cœur
Du fond des fioles où naissent les potions magiques
Dans les poches percées d’un poète amnésique
Au fond des crevasses, au fond des blessures
Dans le regard d’un homme qu’on torture
Du fond des containers où la terreur se planque
Du fond des coffres-forts, dans le cœur froid des banques
Dans un remords étouffé sous la pierre
Au fond d’un poing serré par la colère
{au Refrain}