Les paroles de la chanson
« La valse des bas noirs (les bas noirs) »
Mathé Altéry
Au jardin de Paris
Lorsque je vis Palmyre
Elle avait des bas gris
Je ne sus rien lui dire
Mais quand, le lendemain,
J’aperçus à la belle
Des bas de noir satin
Mon cœur prit feu pour elle
{Refrain:}
Les bas noirs, les bas noirs
Sont les bas que je préfère
Bien des jours, bien des soirs
A mon cœur, ils ont su plaire
Les bas noirs, les bas noirs
En disent plus qu’un poème
Et la danse que j’aime
C’est la valse des bas noirs {x2}
Et la danse que j’aime
C’est la valse des bas noirs
Au premier rendez-vous
Que me donna Rosette
Elle avait des bas roux
Ma langue fut muette
Sa cousine, elle, était
Certes bien moins jolie
Oui, mais elle portait
Les bas de ma folie!
{au Refrain}
J’aimai Lise un long mois
Un long mois de poème
Vous dire mes émois
Grâce à ses bas que j’aime!
Un jour, elle changea
De couleur, la traîtresse!
Et mon cœur, ce jour-là
A changé de maîtresse
{au Refrain}
Par amour de la paix
Si j’épouse un pied mince
Ce ne sera jamais
Un bas-bleu de province
Celle que je prendrai
C’est une Parisienne
Dont, seul, j’habillerai
La jambe patricienne
{au Refrain}
Lorsque je vis Palmyre
Elle avait des bas gris
Je ne sus rien lui dire
Mais quand, le lendemain,
J’aperçus à la belle
Des bas de noir satin
Mon cœur prit feu pour elle
{Refrain:}
Les bas noirs, les bas noirs
Sont les bas que je préfère
Bien des jours, bien des soirs
A mon cœur, ils ont su plaire
Les bas noirs, les bas noirs
En disent plus qu’un poème
Et la danse que j’aime
C’est la valse des bas noirs {x2}
Et la danse que j’aime
C’est la valse des bas noirs
Au premier rendez-vous
Que me donna Rosette
Elle avait des bas roux
Ma langue fut muette
Sa cousine, elle, était
Certes bien moins jolie
Oui, mais elle portait
Les bas de ma folie!
{au Refrain}
J’aimai Lise un long mois
Un long mois de poème
Vous dire mes émois
Grâce à ses bas que j’aime!
Un jour, elle changea
De couleur, la traîtresse!
Et mon cœur, ce jour-là
A changé de maîtresse
{au Refrain}
Par amour de la paix
Si j’épouse un pied mince
Ce ne sera jamais
Un bas-bleu de province
Celle que je prendrai
C’est une Parisienne
Dont, seul, j’habillerai
La jambe patricienne
{au Refrain}