Les paroles de la chanson
« La vallée du sacramento »
Marie-José
Dans la vallée du Sacramento,
Un pauvre gars sans fortune,
Est amoureux d’une brune,
La fille du rancho.
Ce grand garçon qui n’a peur de rien
N’ose pas dire à la belle
Les mots qu’il chante pour elle
Lorsque la nuit revient.
Assis sous un grand pin dans la clairière,
Il fait chanter son harmonica.
Il lui dit en secret une prière
Que la brise embaumée emportera.
Son cœur tremblant espère un écho
Qui répondrait : Oui, je t’aime.
Qu’il serait doux ce poème
Dans la vallée du Sacramento.
Hélas, combien de nuits ont défilé
Sur les grands pins échevelés...
Mais l’amoureux n’a pas parlé.
Un soir, au grand galop de son cheval,
Il voulut fuir avec son mal
Vers son lointain pays natal.
Pourtant, la fille du rancho
Avait deviné sans un mot.
Dans la vallée du Sacramento,
Un pauvre gars sans fortune,
Fuyant les yeux d’une brune,
A quitté le rancho.
Il va lancer un dernier adieu,
Revoir le décor sauvage
Où danse encore le mirage
De son rêve malheureux.
Soudain, tournant les yeux vers la clairière,
Il tressaille et déjà son cœur bat.
Dressée sur son cheval dans la lumière,
La belle, éperdument, lui tend les bras.
Dans le mystère du soir doux et chaud,
Sous les étoiles qui tremblent,
Deux ombres s’en vont ensemble
Dans la vallée du Sacramento,
Dans la vallée du Sacramento.
Un pauvre gars sans fortune,
Est amoureux d’une brune,
La fille du rancho.
Ce grand garçon qui n’a peur de rien
N’ose pas dire à la belle
Les mots qu’il chante pour elle
Lorsque la nuit revient.
Assis sous un grand pin dans la clairière,
Il fait chanter son harmonica.
Il lui dit en secret une prière
Que la brise embaumée emportera.
Son cœur tremblant espère un écho
Qui répondrait : Oui, je t’aime.
Qu’il serait doux ce poème
Dans la vallée du Sacramento.
Hélas, combien de nuits ont défilé
Sur les grands pins échevelés...
Mais l’amoureux n’a pas parlé.
Un soir, au grand galop de son cheval,
Il voulut fuir avec son mal
Vers son lointain pays natal.
Pourtant, la fille du rancho
Avait deviné sans un mot.
Dans la vallée du Sacramento,
Un pauvre gars sans fortune,
Fuyant les yeux d’une brune,
A quitté le rancho.
Il va lancer un dernier adieu,
Revoir le décor sauvage
Où danse encore le mirage
De son rêve malheureux.
Soudain, tournant les yeux vers la clairière,
Il tressaille et déjà son cœur bat.
Dressée sur son cheval dans la lumière,
La belle, éperdument, lui tend les bras.
Dans le mystère du soir doux et chaud,
Sous les étoiles qui tremblent,
Deux ombres s’en vont ensemble
Dans la vallée du Sacramento,
Dans la vallée du Sacramento.