Les paroles de la chanson
« La tigresse »
Pierre Perret
Je suis tombé sur une tigresse
Qui inspire l’amour à belles dents
Mais cette enfant malheureusement
A le cœur aussi dur que les fesses
On voit souvent des fesses
Qui disent n’importe quoi
Mais même à la police
Celles-là ne parlent pas
Mais même à la police
Celles-là ne parlent pas
Sous un chemisier de Hollande
Elle cachait deux jumeaux tout blancs
Lors moi pour pousser plus avant
J’implorais soyez plus galande
Dégrafez la chemise
Non, dit-elle, car chez moi
Quand la Hollande est prise
Adieu les Pays-Bas
Quand la Hollande est prise
Adieu les Pays-Bas
J’ai cueilli enfin ma rosière
Mais j’ai le net pressentiment
Qu’en même temps que ses premières dents
Son berlingot s’est fait la paire
Elle a très vite pigé
Que c’est horizontalement
Que ses mignons souliers
Dureraient le plus longtemps
Que ses mignons souliers
Dureraient le plus longtemps
Elle voulut tout savoir la garce
Me questionnant du bout des seins
Et je n’ai laissé nul chemin
Ou la main ne passe et repasse
Elle a appris tant de moi
Qu’elle s’est mise au tapin
J’ai pétri des petits pains
Qui ne sont plus pour moi
J’ai pétri des petits pains
Qui ne sont plus pour moi
Qui inspire l’amour à belles dents
Mais cette enfant malheureusement
A le cœur aussi dur que les fesses
On voit souvent des fesses
Qui disent n’importe quoi
Mais même à la police
Celles-là ne parlent pas
Mais même à la police
Celles-là ne parlent pas
Sous un chemisier de Hollande
Elle cachait deux jumeaux tout blancs
Lors moi pour pousser plus avant
J’implorais soyez plus galande
Dégrafez la chemise
Non, dit-elle, car chez moi
Quand la Hollande est prise
Adieu les Pays-Bas
Quand la Hollande est prise
Adieu les Pays-Bas
J’ai cueilli enfin ma rosière
Mais j’ai le net pressentiment
Qu’en même temps que ses premières dents
Son berlingot s’est fait la paire
Elle a très vite pigé
Que c’est horizontalement
Que ses mignons souliers
Dureraient le plus longtemps
Que ses mignons souliers
Dureraient le plus longtemps
Elle voulut tout savoir la garce
Me questionnant du bout des seins
Et je n’ai laissé nul chemin
Ou la main ne passe et repasse
Elle a appris tant de moi
Qu’elle s’est mise au tapin
J’ai pétri des petits pains
Qui ne sont plus pour moi
J’ai pétri des petits pains
Qui ne sont plus pour moi