Les paroles de la chanson
« La sirène »
Marc Aryan
J’avais stoppé la voiture au bord des dunes
Qui ondulaient doucement au clair de lune,
Le vieux phare d’Ostende balayait l’horizon
Les vagues de la mer murmuraient leur chanson.
Nous avions trop dansé, nous avions bien trop bu.
Reposée sur ton siège, tu ne me voyais déjà plus
Et j’avais l’impression d’être dans un bateau,
Veillant une sirène surgie du sein des flots.
Le démon de l’amour me piquait de son dard
Et de secrets désirs enflammaient mon regard.
Mais tu étais si belle dans ta robe fleurie
Que je restais muet à te voir endormie.
Les heures, une à une, semblaient s’évaporer
Comme ces parfums du soir qu’on ne voit pas passer
Car l’amour et le temps ne sont pas deux cousins.
Un oiseau matinal lança son gai refrain.
Puis je repris la route, perdu dans mes pensées,
Evitant les cahots pour ne pas te réveiller.
Le soleil éclairait la porte de ta maison
Quand j’ai rouvert tes yeux d’un baiser sur ton front.
Qui ondulaient doucement au clair de lune,
Le vieux phare d’Ostende balayait l’horizon
Les vagues de la mer murmuraient leur chanson.
Nous avions trop dansé, nous avions bien trop bu.
Reposée sur ton siège, tu ne me voyais déjà plus
Et j’avais l’impression d’être dans un bateau,
Veillant une sirène surgie du sein des flots.
Le démon de l’amour me piquait de son dard
Et de secrets désirs enflammaient mon regard.
Mais tu étais si belle dans ta robe fleurie
Que je restais muet à te voir endormie.
Les heures, une à une, semblaient s’évaporer
Comme ces parfums du soir qu’on ne voit pas passer
Car l’amour et le temps ne sont pas deux cousins.
Un oiseau matinal lança son gai refrain.
Puis je repris la route, perdu dans mes pensées,
Evitant les cahots pour ne pas te réveiller.
Le soleil éclairait la porte de ta maison
Quand j’ai rouvert tes yeux d’un baiser sur ton front.