Les paroles de la chanson
« La señora garcia »
Robert Cogoi
Dans ce petit village de Castille
Dès que la cloche appelle les fidèles
On peut voir une vieille bien gentille
Passer, le nez plongé dans son missel
Tous les petits enfants lui font cortège
Jetant parfois des roses sur ses pas
Et les carabiniers,
La gueule enfarinée,
En la voyant font des signes de croix
{Refrain:}
C’est la señora Garcia, la sainte femme
Lorsque l’on croise son chemin rien qu’une fois
Amigos, croyez-moi
On n’oublie pas la señora
Garcia
Et quand, sur les collines, la nuit tombe
Dans le village règne la terreur
Car on entend rôder dans les rues sombres
Une effroyable bande de voleurs
Leur chef à la silhouette un peu bizarre
A du granit à la place du cœur
Vêtu comme une fille
Caché sous sa mantille
Ce vrai Napoléon des malfaiteurs
{au Refrain}
Un jour, on vit venir un journaliste
Encore bien plus curieux que la moyenne
Il se vanta de tenir une piste
Mais on l’a retrouvé dans un vieux chêne
Il était cravaté d’une mantille
Et se balançait entre ciel et terre
Mais devinez qui vient
Tous les lundis matins
Lui apporter des fleurs au cimetière
{au Refrain}
Dès que la cloche appelle les fidèles
On peut voir une vieille bien gentille
Passer, le nez plongé dans son missel
Tous les petits enfants lui font cortège
Jetant parfois des roses sur ses pas
Et les carabiniers,
La gueule enfarinée,
En la voyant font des signes de croix
{Refrain:}
C’est la señora Garcia, la sainte femme
Lorsque l’on croise son chemin rien qu’une fois
Amigos, croyez-moi
On n’oublie pas la señora
Garcia
Et quand, sur les collines, la nuit tombe
Dans le village règne la terreur
Car on entend rôder dans les rues sombres
Une effroyable bande de voleurs
Leur chef à la silhouette un peu bizarre
A du granit à la place du cœur
Vêtu comme une fille
Caché sous sa mantille
Ce vrai Napoléon des malfaiteurs
{au Refrain}
Un jour, on vit venir un journaliste
Encore bien plus curieux que la moyenne
Il se vanta de tenir une piste
Mais on l’a retrouvé dans un vieux chêne
Il était cravaté d’une mantille
Et se balançait entre ciel et terre
Mais devinez qui vient
Tous les lundis matins
Lui apporter des fleurs au cimetière
{au Refrain}