Les paroles de la chanson
« La salsa »
Bernard Lavilliers
Tout le gang était là, ceux de Porto-Rico, ceux de Cuba
Les maqueraux de Harlem, les revendeurs de coke ou de coca
Ceux qui vivent au soleil, avec des femmes blanches dans les villas
Et ceux qui mangent pas, sapés comme des nababs à l’Opéra
La voilà
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa
Une sauce mélo de te quiero mucho et de cafard
Une sauce mais là c’est le Christ qui te saigne pour vingt dollars
Une sauce mêlée de beauté, de souplesse et de conga
Une sauce lamée comme la peau de la fille qui danse pour moi
La Salsa
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa
Tout seul dans la nuit chaude, je la garde serré contre mon cœur
Malgré la mort qui rode, chuchotant quelque chose à son chauffeur
Y’en a marre des palaces, elle s’en va faire des passes pour le panard
Je la suis à la trace, ramassant ses paillettes sur le trottoir
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa
Les maqueraux de Harlem, les revendeurs de coke ou de coca
Ceux qui vivent au soleil, avec des femmes blanches dans les villas
Et ceux qui mangent pas, sapés comme des nababs à l’Opéra
La voilà
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa
Une sauce mélo de te quiero mucho et de cafard
Une sauce mais là c’est le Christ qui te saigne pour vingt dollars
Une sauce mêlée de beauté, de souplesse et de conga
Une sauce lamée comme la peau de la fille qui danse pour moi
La Salsa
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa
Tout seul dans la nuit chaude, je la garde serré contre mon cœur
Malgré la mort qui rode, chuchotant quelque chose à son chauffeur
Y’en a marre des palaces, elle s’en va faire des passes pour le panard
Je la suis à la trace, ramassant ses paillettes sur le trottoir
C’est une latine de Manhattan, de la résine de macadam
Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulève, c’est la Salsa
C’est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
Les reins cambrés au bon endroit, elle est superbe
C’est la Salsa