Les paroles de la chanson
« La réponse »
Daniel Balavoine
J’ai reçu ta lettre
Et de ma fenêtre
Quand je les ai vus t’emmener
Ma tête s’est voûtée
Les pleures que j’avais sur les mains
S’essoufflaient courant vers les tiens
Qui se refermaient derrière toi
En étouffant tout ce qui restait de ma voix
Des sentiments bâtards
A caresser le ciel
Ou encore à flirter les trottoirs
Me poussent vers Viertel
Pour essayer de te revoir
Pour ne pas bluffer mon espoir
Je me cogne la tête au mur
Et j’irrite mes larmes sures
Sur son armure
Et puis je serre les dents
Crois-moi, ne l’oublie pas, compte sur moi
Embrasse nos parents
Dis-leur que je suis leur enfant
Et de ma fenêtre
Je t’écris ma lettre
J’ai trop de mal à m’endormir
Et si mon sang dévire
C’est le fumée que je respire
Et qui me pousse à revenir
Du côté de Viertel
En espérant que tu passeras par le ciel
Et quand je me sens fort
Je parle aux miradors
Et si je sais qu’ils te surveillent
C’est qu’ils tuent mon sommeil
En m’empêchant de t’embrasser
En éclairant ce pauvre baiser
Que je t’envoie par courrier
De ce côté de BERLIN qu’ils t’ont enlevé
Il faut que je serre les dents
Crois-moi, pardonne-moi, si je ne viens pas
Embrasse nos parents
Crie-leur que je suis leur enfant.
Et de ma fenêtre
Quand je les ai vus t’emmener
Ma tête s’est voûtée
Les pleures que j’avais sur les mains
S’essoufflaient courant vers les tiens
Qui se refermaient derrière toi
En étouffant tout ce qui restait de ma voix
Des sentiments bâtards
A caresser le ciel
Ou encore à flirter les trottoirs
Me poussent vers Viertel
Pour essayer de te revoir
Pour ne pas bluffer mon espoir
Je me cogne la tête au mur
Et j’irrite mes larmes sures
Sur son armure
Et puis je serre les dents
Crois-moi, ne l’oublie pas, compte sur moi
Embrasse nos parents
Dis-leur que je suis leur enfant
Et de ma fenêtre
Je t’écris ma lettre
J’ai trop de mal à m’endormir
Et si mon sang dévire
C’est le fumée que je respire
Et qui me pousse à revenir
Du côté de Viertel
En espérant que tu passeras par le ciel
Et quand je me sens fort
Je parle aux miradors
Et si je sais qu’ils te surveillent
C’est qu’ils tuent mon sommeil
En m’empêchant de t’embrasser
En éclairant ce pauvre baiser
Que je t’envoie par courrier
De ce côté de BERLIN qu’ils t’ont enlevé
Il faut que je serre les dents
Crois-moi, pardonne-moi, si je ne viens pas
Embrasse nos parents
Crie-leur que je suis leur enfant.