Les paroles de la chanson
« La première fois que tu m'as quittée »
Oshen
Tu me méprises, je te dégoute
Fous-moi la paix, va te faire fout’
Je te discrédite tout le temps
D’vant nos amis, au restaurant
Je te fais mal, j’te manipule
A croire que c’est moi qui t’enc..e
D’t’facon nous deux, c’est éphémère
Et pis pourquoi j’aime pas ta mère? (ouais pourquoi?)
La première fois que tu m’as quittée
Tu m’as vraiment impressionnée
Au point quand on (sur une plage) s’est retrouvé
J’avoue, j’en ai presque pleuré
Tu n’supportes plus mon égoïsme
J’ai même perdu tout mon charisme
Toi qui as vraiment tout donné (patience, écoute, sensibilité)
Moi qui ai vraiment tout bousillé (absence, perfidie, méchanceté)
Et puis en plus d’être féministe
Inconsciemment, je suis raciste
Ton psy est d’accord avec toi (même s’il ne te parle pas)
Il vaut mieux qu’on s’en tienne là (oh la la)
La deuxième fois que tu m’as quittée
J’ai cru qu’cette fois, c’était vraiment râpé
Alors quand tu m’as recontactée (par téléphone)
J’ai admis une fois de plus (t’as raison, j’ai vraiment été conne)
Je suis le monstre du Loch Ness
Disparais ou gare à tes fesses (yes)
Je veux plus te voir, je te déteste (yes)
C’est toi qui pars, c’est moi qui reste
Le lit Habitat est à toi (ah bon?)
Ainsi que les cendres du chat (ah ça, c’est bon)
Pas la peine de te rappeler
Ton numéro, tu l’as changé
La douzième fois que tu m’as quittée
J’ai fait changer mes ch’veux, mes clefs
Tu as tant pleuré, supplié, suffoqué (postillonné)
Que j’ai dit "bon, d’accord, ok!"
La treizième fois, c’est moi qui t’ai quitté (qui t’ai quitté)
J’ai tout changé, mes seins, mon nez,
Tu m’as fait suivre par un privé
On peut dire qu’il s’est appliqué.
Fous-moi la paix, va te faire fout’
Je te discrédite tout le temps
D’vant nos amis, au restaurant
Je te fais mal, j’te manipule
A croire que c’est moi qui t’enc..e
D’t’facon nous deux, c’est éphémère
Et pis pourquoi j’aime pas ta mère? (ouais pourquoi?)
La première fois que tu m’as quittée
Tu m’as vraiment impressionnée
Au point quand on (sur une plage) s’est retrouvé
J’avoue, j’en ai presque pleuré
Tu n’supportes plus mon égoïsme
J’ai même perdu tout mon charisme
Toi qui as vraiment tout donné (patience, écoute, sensibilité)
Moi qui ai vraiment tout bousillé (absence, perfidie, méchanceté)
Et puis en plus d’être féministe
Inconsciemment, je suis raciste
Ton psy est d’accord avec toi (même s’il ne te parle pas)
Il vaut mieux qu’on s’en tienne là (oh la la)
La deuxième fois que tu m’as quittée
J’ai cru qu’cette fois, c’était vraiment râpé
Alors quand tu m’as recontactée (par téléphone)
J’ai admis une fois de plus (t’as raison, j’ai vraiment été conne)
Je suis le monstre du Loch Ness
Disparais ou gare à tes fesses (yes)
Je veux plus te voir, je te déteste (yes)
C’est toi qui pars, c’est moi qui reste
Le lit Habitat est à toi (ah bon?)
Ainsi que les cendres du chat (ah ça, c’est bon)
Pas la peine de te rappeler
Ton numéro, tu l’as changé
La douzième fois que tu m’as quittée
J’ai fait changer mes ch’veux, mes clefs
Tu as tant pleuré, supplié, suffoqué (postillonné)
Que j’ai dit "bon, d’accord, ok!"
La treizième fois, c’est moi qui t’ai quitté (qui t’ai quitté)
J’ai tout changé, mes seins, mon nez,
Tu m’as fait suivre par un privé
On peut dire qu’il s’est appliqué.