Les paroles de la chanson
« La poitrinaire ou le secret de bébé »
Charlus
Je connais depuis l’automne, un bébé des plus charmant,
dont la soeur, pauvre mignonne, est poitrinaire à 15 ans.
Quand je vis la blonde tête, de ce gracieux lutin,
il parcourait en cachette, les allées du grand jardin.
Ses petites mains potelées, tenaient un fil qu’il roulait,
autour des branches fanées, que parfois il atteignait.
"Que fais-tu,là, petit homme?", l’enfant surpris me toisa,
puis souriant, voici comme, à voix basse il me parla.
"Tu me plais, je vais te dire, quel est mon secret à moi,
si tu me promets sans rire, de bien le garder pour toi.
Tout d’abord, je dois t’apprendre que je m’appelle Bébé,
que j’ai, ça va te surprendre, mes cinq ans depuis l’été.
Pour jouer à la cachette, je suis tout seul maintenant,
car bien malalde est soeurette, et le docteur vient souvent.
Ce docteur est bien sévère, mais ne parait pas méchant,
cependant petite mère, toujours pleure en l’écoutant.
Alors j’ai voulu connaître ce qui la faisait pleurer,
j’étais curieux peut-être, monsieur tu vas me gronder.
Sous la table avec mystère, hier je me suis caché,
le docteur causait à mère, de là j’ai tout écouté.
Il disait:"Voyez par terre, combien de feuilles déjà,
quand tombera la dernière, le chère enfant s’en ira".
Voilà pourquoi je rattache les feuilles qui vont tomber,
c’est là une rude tâche, dis, monsieur, veux-tu m’aider
dont la soeur, pauvre mignonne, est poitrinaire à 15 ans.
Quand je vis la blonde tête, de ce gracieux lutin,
il parcourait en cachette, les allées du grand jardin.
Ses petites mains potelées, tenaient un fil qu’il roulait,
autour des branches fanées, que parfois il atteignait.
"Que fais-tu,là, petit homme?", l’enfant surpris me toisa,
puis souriant, voici comme, à voix basse il me parla.
"Tu me plais, je vais te dire, quel est mon secret à moi,
si tu me promets sans rire, de bien le garder pour toi.
Tout d’abord, je dois t’apprendre que je m’appelle Bébé,
que j’ai, ça va te surprendre, mes cinq ans depuis l’été.
Pour jouer à la cachette, je suis tout seul maintenant,
car bien malalde est soeurette, et le docteur vient souvent.
Ce docteur est bien sévère, mais ne parait pas méchant,
cependant petite mère, toujours pleure en l’écoutant.
Alors j’ai voulu connaître ce qui la faisait pleurer,
j’étais curieux peut-être, monsieur tu vas me gronder.
Sous la table avec mystère, hier je me suis caché,
le docteur causait à mère, de là j’ai tout écouté.
Il disait:"Voyez par terre, combien de feuilles déjà,
quand tombera la dernière, le chère enfant s’en ira".
Voilà pourquoi je rattache les feuilles qui vont tomber,
c’est là une rude tâche, dis, monsieur, veux-tu m’aider